Ayman Nourdine, un jeune homme de 24 ans, est mort après avoir été violemment tabassé par la gendarmerie comorienne. Son corps a été retrouvé dans un sac poubelle à Vouvouni, son village natal. Ce n’est malheureusement pas la première fois qu’un citoyen comorien est victime de violences policières. La gendarmerie ne pourra pas nier.
La violence est un fléau qui doit être éradiqué de notre société. Les forces de l’ordre doivent protéger les citoyens, pas les maltraiter. Il est temps que les autorités comoriennes prennent des mesures pour mettre fin à cette violence.
La mort tragique d’Ayman Nourdine doit servir de rappel que nous devons lutter contre toutes formes de violence.
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