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Samir, un jeune comorien tué au Mée-sur-Seine en région Parisienne

France. Samir Apache, un jeune comorien a été tué par balle dans la nuit du lundi au mardi 26 novembre dans son quartier le Mée-sur-Seine. Il était connu défavorablement par la police. Âgé d’une trentaine d’années, Samir a grandi au Mée sur Seine. Il a été tué dans son véhicule.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’assassinat serait lié à ses activités dans le milieu de la drogue. Ça serait un règlement de compte. Toujours selon l’enquête, la victime a été exécutée d’une balle dans le cou. Mais deux détonations auraient entendu. Des riverains ont alors alerté la police et les secours qui n’ont pas réussi à la sauver.

Au mois de février, il avait déjà été la cible de plusieurs tirs chez sa mère.

Pour rappel, le père de Samir, s’appelait Apache et il a été assassiné aux Comores. En septembre 1992, rappelle-t-on, Apache, un ancien de l’armée française, se trouvait mêlé à une rébellion militaire née de l’échec
d’une tentative de coup d’Etat visant à renverser le président Said Mohamed Djohar.

Commandant alors l’armée, le chef de bataillon Azali Assoumani – son
grade à l’époque- a fait donner l’assaut à l’endroit où se trouvait
caché Ahmed Abdallah alias Apache qui y a trouvé la mort. Lire la suite : https://www.comoresinfos.net/le-colonel-azali-assoumani-aurait-tue-ahmed-abdallah-alias-apache/

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2 commentaires sur Samir, un jeune comorien tué au Mée-sur-Seine en région Parisienne

  1. Cette mort va hanter le régime d’Azali qui perd le pied sur l’emergence et surtout le fantôme d’Appache qui pèse sur la conscience fou de Mitsoujé. Gare à la dictature tes vieux démons ne sont pas loin.

  2. Azali n’a pas donné l’assaut à l’endroit que se trouvaient Apache et ses trois camarades.
    En effet, balancés par la personne qui les avaient accueillis un certain Amir, les trois victimes dormaient au moment où Azali et ses troupes ont encerclé la maison isolée au sud de la capital.
    Mais au lieu de les sommer à se rendre, le peureux Azali a ordonné de bombarder la maison en taule ondulé(Je vous dit pas l’état de cette maison lorsqu’on s’y est rendu le matin).
    Azali savait que les trois fugitifs dormaient car c’est leur hôte qui a informé l’armée de la présence des trois camarades dans cette maison.
    Azali aurait pu les capturer vivant mais il a préférer les tuées dans leur sommeil.
    La suite est Plus horrible encore!
    En effet, certains éléments de l’armée ont profané les 2 corps des 3 victimes dont celui d’apache en les exposants dans les places publics de Moroni, leurs corps étaient enveloppés dans des moustiquaires et posés dans les mâles arrières des voitures des militaires.
    Tous les deux étaient en caleçon, preuve qu’ils dormaient.
    Azali n’était présent avec ses militaires lorsque ces derniers ont commis cet acte abject mais sa réaction face à l’indignation de l’opinion publique n’était pas loin de sa réaction suite de l’assassinat du journaliste saoudien Jamal Khashoggi lorsque Azali parlait de « cuisine interne ».
    Mais chacun à son tour.
    Pour rappel, dès son retour de Paris l’ex président Ahmed Abdallah avait dit que les armes ne sont pas faites pour tuer que des oiseaux après avoir appris la mort de personnes tuées par les mercenaires de Bob Denard.
    Mais il est fini comment ce président?
    « Celui qui règne par les armes périra par les armes »

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