
Selon les informations rapportées par la journaliste Faiza Soulé, la scène politique de la prochaine présidentielle, prévue pour janvier 2024, connaît un développement surprenant. La liste définitive des candidats, attendue pour aujourd’hui, reste incertaine à la suite d’un recours judiciaire inattendu. Ahamada Marzouk, un acteur politique notable, a introduit un recours contre trois candidats issue de la diaspora communément appelées les « Je Viens ».
Ce geste audacieux de Marzouk s’inscrit dans un contexte juridique particulier. La loi régissant l’élection du président de l’Union stipule clairement que tout candidat doit avoir résidé de manière permanente sur le territoire national au cours des 12 derniers mois précédant l’élection. Cette exigence est au cœur de la contestation de Marzouk. Il semblerait que sa requête soit motivée par le non-respect de cette condition d’éligibilité par les candidats visés, soulevant ainsi des questions sur leur admissibilité à concourir.
Il convient de rappeler que la candidature de Marzouk elle-même n’a pas été retenue dans la liste provisoire publiée par la Cour Suprême. Cette décision pourrait avoir influencé sa décision de contester la légitimité des candidats « Je Viens ». Cet événement marque un tournant crucial dans la course à la présidence, posant des interrogations sur la validité des candidatures et le respect des normes légales.
Le paysage politique se trouve ainsi plongé dans une incertitude, avec des implications profondes pour la démocratie et l’intégrité du processus électoral. Les citoyens, les politiciens et les observateurs attendent maintenant avec impatience la résolution de cette affaire, qui pourrait redéfinir les règles du jeu politique et influencer le résultat de l’élection présidentielle de janvier 2024.
Said Hassan Oumouri
Bonjour à tous
Il faut aussi savoir que la loi régissant l’élection présidentielle qui stipule que tout candidat doit résider sur le territoire national de manière permanente dans les 12 derniers mois précédant l’élection présidentielle devait viser tout le monde et pas seulement les « je viens ».
Le président Azali lui-même n’a jamais résidé aux Comores 12 mois de manière permanente depuis son élection.Pourquoi vous n’analysez pas cette réalité?
Certes,ses soutiens politiques,ses mendiants et ses proches peuvent dire que c’est des voyages officiels en tant que Président.Sauf que si on regarde la réalité c’est du tourisme avec ses proches.
Comment peut-on comprendre que le Président comorien ne peut pas faire une semaine sur le territoire national et peut aujourd’hui empêcher les autres d’être candidats sous prétexte qu’ils n’ont pas résidé 12 mois sur le territoire national?
Je rappelle que le Président de la 1ère puissance mondiale,les Etats-Unis peut faire un an avant de faire un voyage officiel hors de ses frontières,le Président français peut rester 3 à 6 mois dans le territoire national sauf urgence internationale.Et même quand il y a des urgences ils traitent à distance avec les nouveaux moyens technologiques à savoir la visioconférence ou Zoom.Pourquoi Azali n’utilise pas ces nouveaux outils pour rester auprès de sa population en souffrance et essayer d’apporter une solution?. Pourtant ces deux Présidents(Etats-unis et France) ont des téléphones et des avions mais ils sont conscients que même sur place ils peuvent apporter des solutions à leurs populations respectives.Observe-t-on une once d’amélioration du quotidien des comoriens pouvant justifier les voyages touristiques d’Azali?
Arrêtez d’enfumer les comoriens que la loi a dit qu’il faut 12 mois sur le territoire national pour concourir.Azali qui a fabriqué cette loi ne la respecte pas.
C’est le clientélisme qui est au dessus de tout .Malheureusement c’est le rythme imposé,et on subira jusqu’au réveil de la population un jour.
A bon entendeur
Bonjour à tous
Il faut aussi savoir que la loi régissant l’élection présidentielle qui stipule que tout candidat doit résider sur le territoire national de manière permanente dans les 12 derniers mois précédant l’élection présidentielle devait viser tout le monde et pas seulement les « je viens ».
Le président Azali lui-même n’a jamais résidé aux Comores 12 mois de manière permanente depuis son élection.Pourquoi vous n’analysez pas cette réalité?
Certes,ses soutiens politiques,ses mendiants et ses proches peuvent dire que c’est des voyages officiels en tant que Président.Sauf que si on regarde la réalité c’est du tourisme avec ses proches.
Comment peut-on comprendre que le Président comorien ne peut pas faire une semaine sur le territoire national et peut aujourd’hui empêcher les autres d’être candidats sous prétexte qu’ils n’ont pas résidé 12 mois sur le territoire national?
Je rappelle que le Président de la 1ère puissance mondiale,les Etats-Unis peut faire un an avant de faire un voyage officiel hors de ses frontières,le Président français peut rester 3 à 6 mois dans le territoire national sauf urgence internationale.Et même il y des urgences où ils traitent à distance avec les nouveaux moyens technologiques à savoir la visioconférence ou Zoom.Pourquoi Azali n’utilise pas ces nouveaux outils pour rester auprès de sa population en souffrance et essayer d’apporter une solution?. Pourtant ces deux Présidents(Etats-unis et France) ont des téléphones et des avions mais ils sont conscients que même sur place ils peuvent apporter des solutions à leurs populations respectives.Observe-t-on une once d’amélioration du quotidien des comoriens pouvant justifier les voyages touristiques d’Azali?
Arrêtez d’enfumer les comoriens que la loi a dit qu’il faut 12 mois sur le territoire national pour concourir.Azali qui a fabriqué cette loi ne la respecte pas.
C’est le clientélisme qui est au dessus de tout .Malheureusement c’est le rythme imposé,on subira jusqu’au réveil de la population.
A bon entendeur