Opinion libre : S’il est vrai comme le dit le chanteur Francis Cabrel qu’ « il y a tant de choses et de manières de dire les choses sans parler », il est aussi vrai que l’imprévisibilité et la débilité du chef de l’Etat inquiète son entourage. La confirmation vient du boss de la communication du palais présidentiel Ahmed Ali Amir. Lui, il prend la situation au sérieux.
Lors de la première conférence de presse d’Azali Assoumani depuis son investiture le 26 mai, le coordonnateur de la communication du palais a donné la consigne suivante à sa meute: « pas de photo, pas de Facebook Live pendant l’entretien avec la presse ». Consigne scrupuleusement respectée au pied de la lettre.
Aucun journaliste n’avait le droit de filmer ou de prendre en photo le président. Décision qui a provoqué le courroux des médias. Certains ont rebroussé chemin comme Al-fajr ou encore Fcbk FM. La décision, inique soit-elle, est motivé par l’inquiétude grandissante des proches du chef de l’Etat.
Il arrive très souvent à ce dernier de se laisser emporter par les émotions. Pendant sa campagne, dans une conférence au Retaj, il n’a pas mâché ses mots pour banaliser la mort tragique de Gazon, ce jeune d’Ikoni froidement abattu par les gendarme en fin de l’année dernière.
Après son investiture, désemparé par le mouvement de contestation de la diaspora, Azali Assoumani qualifie cette dernière de « SDF ». Depuis, son équipe s’inquiète face l’attitude désinvolte du roi du palais.
Mais Azali est loin d’être le seul chef d’Etat qui inquiète son équipe par son attitude imprévisible. Donald Trump ou encore Jair Bolsonaro sont les porte flambeau de ces « présidents débiles » qui nécessitent une surveillance accrue et permanente pour limiter les sorties de route.
Empêcher les journalistes de faire des « Facebook Live » c’est limiter les tollés que devraient provoquer les élucubrations présidentielles. Comme cette phrase quand on lui a demandé pourquoi il a maintenu Kiki dans son gouvernement: « Il a un marabout très efficace ».
Ahmed. Dhoifir
Le peuple vaincra tot ou tard ce malade mental de faux cul de président illégitime . Ses jours sont comptés à beit Salam.
Qui est journaliste dans notre pays?
Ceux qui sont accusés d’être des animateurs de twarab ou ceux qui se disent journalistes mais qui empêchent les autres journalistes de faire du journalisme.
On marche sur la tête!
Par ailleurs, le caractère débile du gourou de Beit Salam n’est pas d’aujourd’hui.
Il faut la cherchée à la suite de l’assassinat d’Apache et son camarade que des militaires aux ordres de ce gourou alors chef des armés, ont profanés les corps de ces victimes de guerre sur les rues de Moroni.
En effet, déjà à l’époque sa déclaration méritait sortir dans la gueule de Satan en personne.
Il y a peu de temps 3A nous chantait:
Liberté de la presse!
Liberté de la presse!
Liberté de la presse!
jusqu’à croire qu’il aurait pu être un excellent chanteur que son frère.
Mais bon, la doctrine Msaïdié a de beaux jours devant elle.
Elle a plein d’adeptes.
Mais jusqu’au jour où le peuple comorien guérira de la « maladie du pardon ».
Ce jour là, les traîtres auront comme récompense, le bûcher!