Le journaliste Ibrahim Inoussa alias Nono donne sa version de la bagarre devant le ministère. « C’est moi qui a bien tabassé et corrigé un membre du Daoula ya haki de Marseille », Nono.
C’est dans la vidéo ci-dessous que Nono donne des explications :
Ce monsieur n’est pas capable de s’interroger.
Je connaissais un NONO très clivant mais le côté violent m’était caché. Il y a un âge où la violence verbale comme physique doivent laisser la place au dialogue. Malheureusement ce n’est pas, ici, le cas pour NONO. Je voudrais croire qu’il s’agit d’un dérapage accidentel. Toute fois, je me permets, de douter pour l’avoir entendu qualifié les Comoriennes de France de prostituées. Mais qui sait? seuls les idiots ne changent pas.
Je connaissais un NONO très clivant mais le côté violent m’était caché. Il y a un âge où la violence verbale comme physique doivent laisser la place au dialogue. Malheureusement ce n’est pas ici pour NONO. Je voudrais croire qu’il s’agit d’un dérapage accidentel. Toute fois, je me permets, toute fois, de douter pour l’avoir entendu qualifié les Comoriennes de France de prostituées.