Aujourd’hui à la salle de conférence de la commune de Moroni, une réunion d’information et de sensibilisation sur le projet reforestation urbaine de la ville de Moroni s’est tenue avec la participation des riverains (Institutions publiques et privés) qui se trouvent sur l’allée Palais du peuple/Rive-gauche.
Ceux qui ont répondus présent à l’appelle de la mairie, manifestent leurs soutient au projet en s’engageant de jouer le rôle de police pour une suivie durable des activités.
Cette opération baptisée « Moroni Ville Verte » mis en oeuvre par le département environnement et écotourisme de la mairie de Moroni, Banda Bitsi, le Centre National d’Horiticulture CNH et le laboratoire Herbier National de l’Université des Comores et soutenue financièrement par un projet PNUD/FEM, ANCAR II, consiste dans un premier temps à planter des plantes autochtones sur l’allé palais du peuple jusqu’à Rive Gauche.
Mairie de Moroni
Moroni ville verte c’est possible et bien? Mais ce ne sont pas quelques arbres plantés, depuis le palais du « peuple » jusqu’à la rive gauche, qui feront de Moroni, une ville agréablement verte. Certes c’est bien de commencer par là mais ne serait-il pas harmonieux de penser à l’ensemble de la ville? A part la ville historique qui ne dispose d’aucun centimètre pour le plus petit arbre. Puis, les déchets plastiques, oui les déchets plastiques. Il faudrait interdire l’usage des plastiques dans notre capitale sous peine d’amandes fortes. disposer des poux belles partout où c’est nécessaire, réécrire un nouveau plan d’urbanisme pour les nouvelles constructions. Faisons de notre ville principale, une vraie capitale, une ville où l’énergie électrique doit être d’origine renouvelable où seuls les véhicules les moins polluant doivent circuler et où la côte maritime doit être protégé pour le bien de tous.
Moroni ville verte c’est possible et bien? Mais ne sont pas quelques arbres plantés, depuis le palais du « peuple » jusqu’à la rive gauche, qui feront de Moroni, une ville agréablement verte. Certes c’est bien de commencer par là mais ne serait-il pas harmonieux de penser à l’ensemble de la ville? A part la vile historique qui ne dispose d’aucun centimètre pour le plus petit arbre. Puis, les déchets plastiques, oui les déchets plastiques. Il faudrait interdire l’usage des plastiques dans notre capitale sous peine d’amandes fortes. disposer des poux belles partout où c’est nécessaire, réécrire un nouveau plan d’urbanisme pour les nouvelles constructions. Faisons de notre ville principale, une vraie capitale, une ville l’énergie électrique doit être d’origine renouvelable où les véhicules les moins polluant doivent circuler.