Tribune: L’opposition à la politique destructrice d’Azali ne doit pas perdre de vue les grains de la discorde qui peuvent survivre après la fin tragique du monstre, de sa famille et de ses complices du régime.
Tout au long du combat juste contre le mal, l’opposition a été la cible d’attaques diffamatoires, d’agressions hypocrites, de manipulations dégoûtantes.
À l’intérieur, nous avons les AHMED ALI AMIR, MSA ALI DJAMAL, NONO qui conseillent, agressent et déshumanisant d’honnêtes combattants pour la liberté.
À l’extérieur, les MOUSSAOUI, BENDJAE, JACK LAVANE, … dénigrent, crachent leur venin contre le droit.
La banque à MAANFOU CHAMSIDINE, s’agissant de Ndzouani inoccule la haine, rampe sur le séparatisme et guette les erreurs politiques pour généraliser l’insularité nauséabonde.
Nous ne devons perdre de vue ces grains de la discorde qui vont gâter la belle Victoire de l’après AZALI/PHARAON.
Oui, certains vont nous sortir l’argumentaire du choix d’opinion, de la liberté d’expression.
Les plus aveugles vont se contenter d’expliquer un passé politique qu’il faudrait dépasser comme si nous sommes toujours condamnés à l’inacceptable chacun son tour de faire le mal.
Le « DAOULA YA HAKI » comme concept pour le moment doit s’affirmer en une force humaine pour un réel décollage d’un pays en sursis.
BEN ALI.
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