Le trafic de la viande de tortue a pris de l’ampleur ces derniers mois à Anjouan, notamment dans la région de Shissiwani.
Jadis, ses consommateurs attendaient assez longtemps avant d’être servis par les pêcheurs-braconniers, qui faisaient des incursions espacées à Mohéli pour en capturer quelques-unes.
Mais maintenant, cette viande prisée est devenue disponible presqu’au quotidien, au point qu’une partie de l’opinion en arrive à soupçonner une certaine complicité du côté de Mohéli.
CMM
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