Un directeur de cabinet au MIREX déclare dans Alwatwan du jour « selon nos enquêtes, les autorités françaises ne sont pas impliquées dans cette affaire » et il conclut « nous avons demandé à l’ambassadeur de France aux Comores de protéger nos citoyens qui se sentent en danger ». Heureusement que le ridicule ne tue pas.
Une chose devient très claire : il ne faut rien attendre de ces gens là. Des concertations sont en cours entre organisations de la société civile pour organiser une protestation publique de la société civile en espérant que les partis politiques se joindront à nous.
Idrisse Mohamed
Rappel: Mayotte est une île comorienne occupée illégalement par la France depuis 1974.
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