Saleh Assoumani, membre du Mouvement Hury a bénéficié d’une
liberté provisoire, il y a 3 semaines après 5 mois de détention. Le 23
septembre dernier, sur le réseau social Tweeter, il a publié un message glaçant : « 3 jours sans nourriture, 55 jours dans une cellule de 1m80 sur 1m50, sans lumière ni toilettes… ».
Plus tard dans la même journée,
cette fois sur Facebook, il est revenu sur les conditions de son
interpellation : « le soir du 23 avril, vers 23h00, on m’a mis une
cagoule et forcé à courir, ensuite embarqué dans une voiture, position prosternée, j’étais roué de coups et Rangers sur la nuque (sic) ». Ces témoignages ont relancé le débat sur les actes de tortures perpétrés en Union des Comores, souvent par des personnes dépositaires de l’autorité
publique.
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