La diaspora comorienne n’en démord pas contre le chef de l’Etat comorien Azali Assoumani qu’elle accuse de piétinement à l’Etat de droit. À chaque manifestation son lot. Quand le 26 mai Azali était mis dans un faux cercueil par la diaspora, ce dimanche les comoriens de Paris lui ont préféré une corde au coup, en guise de pendaison.
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