Le journaliste de la Radio Labaraka Fm est sorti libre du tribunal comme le rapporte le directeur du journal Alwatwan Ahmed Ali Amir.
Abdallah Agoi est libre de ses mouvements mais privé de la liberté d’exercer le métier de journaliste tant qu’une carte de presse ne lui soit délivrée. Cette sanction pose un problème de droit. Puisqu’aucun journaliste comorien ne dispose de ce fameux sésame, peuvent-ils pour autant continuer à exercer ? Le texte portant attribution de la carte de presse élaboré en 2007 à l’issue des états généraux, n’est toujours pas signé pour donner à la Commission Nationale de la Presse et de l’Audiovisuel la prérogative de la délivrer…… Moralité : On se dirige vers l’incertitude….
AGOI,Ou sont tes confrères et consoeurs de la presse ?ou est la notabilité comorienne?franchement ce pays est une grotte,et personne ne bouge son doigts pour defendre la réalité.
La liberté d’expression est le fondement d’une democratie. Ces apprentis magistrats sont corrompus, la plus part d’entre eux ne savent même pas s’exprimer.voir des lacunes graves du droit Comiorien , et certes aussi du droit international, ils appliquent ce que le pouvoir lui dicte. Ces moribonds incompétents gagnent leurs soupes en écrasant mensnsongerement et maladroitement les plus faibles. Ce que vous ignorez chacun d’eux a porté serment d’e demeurer toujours proche du pouvoir , et contre le peuple. Agoi, j’ignore qui tu es mais sache que tu as mon estime. Vive la liberté !