Contribution: Vous pouvez continuer à vaquer a vos occupations comme si de rien n’était pendant qu’on enterre nos morts.
Nous continuerons à pleurer nos martyres pendant que vous dansez en exhibant nos frères tombés au combat comme des trophées de guerre.
Juges, ministres, politiciens, facebookeurs, lèches bottes, chacun de nous connait son vis-à-vis dans cette guerre effroyables pour libérer le pays aux mains du dictateur Azali.
Vous vous estimer n’avoir rien à vous reprocher ? Donc ne songez pas que demain vous allez quitter le pays. Vous seriez en sécurité en prison plutôt que dans les rues de Marseille, Paris, Bruxelles, Genève ou Antananarivo. Nous serions des justiciers impitoyables pour ceux qui tenteront d’échapper à la justice.
Chaque événement nous dresse une liste mis à jour incessamment dans nos mémoires pour qu’un jour justice soit faite.
N.B : L’adage disait que « quand la politique entre au prétoire, la justice en sort ». Et puisque la justice ne meurt jamais, ne vous en étonne guère : elle est juste sortie pour vous attendre dans les trottoirs : LA VINDICTE POPULAIRE
Par Cap Patrie
Monsieur, vous avez raison sur toute la ligne.