Ils étaient entre-eux avec quelques africains venus renforcer les troupes du Daoula ya Haki. Les mêmes discours, les mêmes têtes, les mêmes mots et la même solitude, la diaspora a tourné le dos au mouvement Dawula ya Haki. Aucune proposition mais toujours les mêmes discours. Ce 1 janvier la mobilisation n’était pas au rendez-vous :
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