Les rumeurs se faisaient persistantes ces derniers temps sur la possible libération de l’ancien président de l’Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Ses conseillers et ses partisans avaient des motifs et des raisons de penser que cette liberté allait être possible. Sauf que cet énième demande de libération a subi la même réponse que les précédentes. L’avocat de Sambi s’était basé sur le fait que le délai légal de détention à savoir 8 mois était passée.
Cette règle qui a permis à Sidi de recouvrer sa liberté n’est manifestement pas vue de la même façon s’agissant de la personne de Sambi. Ce dernier a droit à un traitement de faveur hors la loi. Sambi reste donc toujours en détention sans jugement et ce au delà des 8 mois légaux. Son conseiller entend encore une fois partir au combat contre le juge Aliamani.
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