C’est le zéro de la politique comorienne. Avec plusieurs participations aux élections législatives et présidentielles, Salim Saandi n’a jamais dépassé 0.70 % des suffrages exprimés. Mais cette fois il est certain de gagner. Sa victoire a été déjà négociée auprès du président Azali. Zéro va devenir 70…
Il ne voulait pas d’un poste de ministre comme il l’a toujours dit. Surnommé le « bouffon » du président Azali pour avoir trahi et infiltré l’opposition, Salim Saandi a sa récompense cette fois. Selon nos sources il ne fera même pas campagne comme aux présidentielles.
L’opinion publique le considère comme un homme manipulé et une marionnette de Kiki. Son ambition est d’avoir un poste politique pour être connu.
Son programme se résume en une seule phrase est l’opposition à l’assemblée nationale or l’union de l’opposition ne participe pas à ces élections législatives.
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