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ORANGE en mouvement dans la région de Mboikou pour la paix et la tranquillité du pays

Le parti ORANGE affirme son maillage territorial et poursuit sa politique de promotion de la femme en politique. Après Dembéni en mai dernier pour la mise en place de la coordination des femmes du parti dans la région de Mbadjini, ce mercredi 29 juin 2022, l’honneur revient aux femmes de la région de Mboikou à Madjeweni ou a eu lieu la mise en place de la coordination des femmes du parti de Mohamed Daoudou alias kiki.

 

Bouleversée, comme l’ensemble de notre mouvement, par l’événement tragique, du lundi 27 juin à Anjouan, avec l’assassinat de Mm Sitti-Hafsoit Dhoiffir dans son domicile à Mutsamudu, avant son mot de bienvenue, Madame Mariama Moumini, adjointe au maire de Mboikou a présenté les condoléances les plus attristées de Orange à la famille et aux proches de la défunte. Pour madame Mariama Moumini cet évènement terrible a touché « au plus haut point les femmes du Parti Orange ». Elle a exprimé sa profonde sympathie aux femmes de la ville de Mutsamudu en leur adressant un message d’affection et leur assure qu’elles sont à leurs côtés par la pensée faute de ne pouvoir se rendre aux obsèques et participer à la marche et la prière qu’elles ont organisées à Mutsamudu.

 

Par la suite, madame Zarianti Mohamed secrétaire générale de la coordination nouvellement élue, a présenté les membres de la coordination, toutes originaires des huit villages qui composent la région de Mboikou, avant de préciser que cette activité s’inscrivait dans « la dynamique de la promotion des militantes du parti en politique », et qu’elle visait à les « impliquer d’avantage dans la stratégie de restructuration du parti et le renforcement de ses structures locales ». Quand à madame, Fatima Ahamada coordinatrice du parti dans cette région, elle a pris l’engagement d’œuvrer pour la mobilisation et l’implication « pleine et entière » des femmes de la région dans les activités du parti.

 

Pour l’adjointe au maire de la commune de Mboudé, madame Chadia Ahamada Mzé, si les crimes et les violences de toute sorte s’intensifient dans le pays, « c’est parce qu’on laisse les gens se faire tuer dans l’indifférence et que l’insécurité s’installe dans l’indifférence générale ». Les élus du parti Orange ne peuvent rester indifférents face à cette situation.

 

C’est ainsi que les maires étant naturellement les pilotes des politiques locales de prévention de la délinquance vont mettre en œuvre la politique de prévention de la délinquance, et animer sur les territoires de leurs communes, avec les conseillers municipaux du parti des actions en parfaite adéquation avec la gestion moderne des affaires de sécurité conformément aux lois en vigueurs dans le pays et au projet politique du parti.

 

Orange considère qu’il ne peut y avoir ni de développement sans que la sécurité des citoyens et des biens soit garantis par les pouvoirs publics. Dans cette optique, notre parti est résolument engagé à œuvrer à la promotion de la participation des femmes dans la gestion de la sécurité au sein de la société, car notre conviction profonde est qu’aucune lutte, aucun prévention contre les violences diverses ne peuvent être efficaces sans une implication réelle des femmes.

 

Selon madame Chadia Ahamada, « il est impossible de mettre en place une politique de sécurité opérante sans les premiers concernés à savoir les habitants ». C’est pourquoi, le parti Orange propose comme nouveau credo l’implication de la population dans la lutte contre l’insécurité et toutes les formes de violences faites aux femmes et aux enfants : « En tant que citoyennes et citoyens, nous sommes toutes et tous acteurs et nous avons un rôle actif à jouer en matière de sécurité. Chacune et chacun de nous peut et doit pouvoir contribuer à lutte contre les délinquances diverses et à la promotion de la paix et de la tranquillité de toutes et tous ». 

 

La formation politique de Mohamed Daoudou Kiki prône la coproduction de la sécurité, car orange considère que les collectivités locales, les villes et les villages, deviennent des un nouveaux acteurs de la prévention de la délinquance, du maintient de la tranquillité publique et de la lutte contre insécurité. Puisque les collectivités locales sont proches des premiers concernés des problématiques de la sécurité. A cet effet, les collectivités locales, les villes et les villages doivent être associés d’une manière ou d’une autre à la prévention de la paix et de la sécurité de toutes et de tous qui sont, à leur tour, nécessaires à une promotion effective de l’activité sociale et économique au bénéfice du développement.

 

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