Le Secrétaire général exprime sa préoccupation concernant la persistance des restrictions des libertés civiles et des droits démocratiques à l’approche du référendum constitutionnel du 30 juillet aux Comores. Il exhorte le gouvernement, les partis politiques et toutes les autres parties concernées à faire tout leur possible pour respecter l’Etat de droit et les droits de l’homme.
Le Secrétaire général, se faisant l’écho de la récente décision de l’Assemblée des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union africaine, appelle les parties prenantes comoriennes à engager un dialogue afin d’assurer une consultation inclusive sur les réformes constitutionnelles sous l’égide de l’Union africaine.
Farhan Haq, porte-parole adjoint du Secrétaire général
New York, le 29 juillet 2018
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