Les travaux de l’aménagement et de l’agrandissement de l’aéroport Bandar es Salam de Moheli seront bientôt arrêtés. Les habitations qui se trouvent à 60 mètres de la piste d’atterrissage sont les causes des problèmes.
En effet des maisons sont construites illégalement par des Anjouanais qui ne veulent plus partir. Tous les experts ont montré le danger qu’il y a avec des habitations à moins de 60 mètres de la piste. Même si la décision de justice a donné raison à la destruction des maisons pour la sécurité des futurs passagers et des habitants mais cette décision n’est pas appliquée pour des calculs électoralistes.
Dans cette affaire, les autorités locales gardent le silence et personne ne veut se salir les mains. Un témoin nous a confié «les avions vont passer au dessus des fumées provenant des cuisines des habitations tellement les maisons sont proches de la piste d’atterrissage ».
Les anjouanais comme les mohéliens jouissent des mêmes droits à Mohéli, il ne s’agit pas de pointer du doigt les anjouanais. Ces personnes ont violé la loi et elles doivent quitter le terrain qu’elles occupent illégalement.
L’avenir de l’île de Mohéli est engagé dans ce dossier, l’aéroport pourrait accueillir plus d’avions et plus de touristes. Les intérêts de Mohéli semblent être abandonnés pour des intérêts électoralistes.
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