Ce dimanche 14 janvier 2024 restera gravé dans l’histoire politique de Ntsoudjini avec des élections qui ont pris une tournure inattendue. La ville a catégoriquement désavoué Mouigni Baraka, considéré autrefois comme l’enfant prodige de la localité.
Sur les 2115 inscrits, seulement 700 électeurs ont soutenu Mouigni Baraka, tandis que le candidat Azali Assoumani a remporté 200 voix et le Dr Salim du parti Juwa est en troisième position des suffrages. Ces résultats marquent un échec cuisant pour Mouigni Baraka, qui voit une majorité de ses concitoyens lui tourner le dos.
Depuis la publication des procès-verbaux des bureaux de vote de Ntsoudjini, l’absence remarquée de Mouigni Baraka des radars médiatiques sème le doute quant à sa réaction face à ce désaveu. Le silence de Baraka intrigue et suscite des interrogations quant à ses prochaines démarches.
Ce revers électoral soulève des questions quant aux raisons derrière le désaveu massif de Mouigni Baraka. Est-ce une réaction à sa gestion passée, ses déclarations contre les anjouanais ou des choix de campagne controversés ? Les Ntsoudjinéens ont clairement exprimé leur désapprobation, laissant Baraka dans une position politique délicate.
La diffusion hier soir par le journaliste de Fcbk FM de résultats erronés et mensongers attribués à tort à la CENI, révèle un flagrant manque de professionnalisme. En s’appuyant sur des données provenant des partisans de Mouigni Baraka, le journaliste, Jean Claude a compromis l’intégrité de l’information. Ce manquement à la rigueur journalistique souligne l’importance cruciale de l’éthique et de la vérification des faits dans le domaine médiatique pour préserver la confiance du public. Pourquoi Jean Claude a publié des fausses informations ? Sera t-il poursuivi ?
IBM
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