Au sein des partis « emergentistes », en clair ceux qui font la cour à Azali Assoumani, président de l’Union, des divergences avaient vu le jour lors qu’il fallait mettre en place le bureau de la mouvance et élire son secrétaire général. Le combat opposait Achirafi et Mliva et ce dernier a réussi à obtenir le poste avec 8 voix contre 7 pour son adversaire. Lequel adversaire était soutenu par les ténors à l’image du directeur des hydrocarbures. Il était reproché à Mliva de n’avoir pas de parti politique et de n’avoir aucune base électorale. L’on estimait qu’il ne serait même pas en mesure de rapporter 70 voix pour l’émergence en cas d’élections. Dans tous les cas, Mliva avait réussi à séduire « l’emergeant-man », Azali Assoumani qui le reçoit à longueur de semaine. Le nouveau Sg de la mouvance a donc réussi son chanllenge qui était de se faire passer pour un poids lourd de la politique et de prendre l’ascenseur vers l’émergence en 2030.
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