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Mission de l’unité de gestion du projet d’accès à l’énergie solaire : vers une transformation énergétique aux Comores

Une mission menée par l’unité de gestion et de coordination du projet d’accès à l’énergie solaire en Union des Comores, dirigée par Mohamed Elhad Abasse, directeur de l’énergie et des mines, est actuellement en tournée dans les îles. L’objectif principal de cette mission est de préparer les cadres et agents de la Société nationale de l’électricité (SONELEC) à s’adapter aux nouvelles technologies et à relever les défis énergétiques du pays. Après une étape à Ndzouani, l’équipe a consacré quatre jours à une formation et un échange avec le personnel de Mohéli.

La formation, qui s’est déroulée du vendredi 4 au lundi 7 octobre, a offert une pause le dimanche pour permettre une réunion stratégique dédiée à la réflexion. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet d’accès à l’énergie solaire, financé par la Banque mondiale et porté par le ministère de l’énergie, de l’eau et des hydrocarbures, via son unité de gestion.

Mohamed Elhad Abasse a souligné l’importance de cette mission pour renforcer la gouvernance énergétique à tous les niveaux. « C’est pour appuyer la gouvernance énergétique à tous les niveaux, commercial, management, économique, etc. Nous espérons relever le défi vers la souveraineté énergétique », a-t-il déclaré.

Pour les agents de la SONELEC, cette formation a permis une meilleure compréhension des besoins spécifiques de chaque département, notamment les ressources humaines, la technique, la finance et le commercial. Bachar Taoufik, chef de service de recouvrement à la SONELEC Mohéli, a salué l’importance de cet échange. « Cette formation était d’une importance capitale », a-t-il affirmé, insistant sur le fait qu’elle permet à chaque département d’identifier les défis à surmonter pour accompagner le nouvel élan de la société vers une gestion plus moderne et efficace de l’énergie.


IBM

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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