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Lutte contre le choléra aux Comores : L’Union européenne a alloué une aide de 500 000 €

Depuis l’apparition de l’épidémie de choléra aux Comores, une collaboration étroite entre les acteurs nationaux et internationaux s’est mise en place pour endiguer cette crise sanitaire. La communauté internationale a rapidement apporté son soutien aux autorités sanitaires comoriennes, permettant de coordonner des actions efficaces sur le terrain.

L’Union européenne a alloué une aide de 500 000 € à l’UNICEF pour mettre en œuvre des mesures urgentes contre le choléra. Cet appui financier permet de fournir des médicaments, de l’équipement médical, ainsi que des ressources nécessaires pour améliorer l’accès à l’eau potable et à l’assainissement.

Parallèlement, la France a contribué de manière significative en finançant une équipe d’intervention d’urgence pour lutter contre l’épidémie. Ce financement, équivalent à 500 000 €, a permis de déployer des unités de traitement de l’eau et de mener une large campagne de sensibilisation dans les écoles, touchant ainsi un grand nombre d’enfants et de familles. La France a également canalisé son soutien à travers la Croix-Rouge Française et le Croissant-Rouge comorien, en partenariat avec la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR).

Sur le terrain, l’action des équipes de santé comoriennes reste déterminante. Sous la direction du ministère de la santé, elles mènent des interventions cruciales, notamment sur l’île d’Anjouan, l’épicentre de l’épidémie. La vaccination contre le choléra a commencé à Anjouan et se poursuit dans l’ensemble du pays, avec l’appui de l’OMS, marquant une étape essentielle dans la lutte contre la propagation de la maladie.

Des organisations non gouvernementales, comme Médecins sans frontières, jouent également un rôle crucial en soutenant les efforts locaux et en apportant une expertise médicale et logistique indispensable. Ce partenariat solide et la coordination entre les différents acteurs permettent de maximiser l’impact des interventions et de répondre efficacement à l’urgence sanitaire.

IBM

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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