La haine gratuite finit toujours par causer des torts à son auteur. Les conséquences deviennent dévastatrices.
Alors qu’il disait jusqu’ici avoir été victime de viol, Simba Khaled reconnaît pour la première fois que cela n’a jamais été le cas. La contradiction reste intacte.
Il change de version en parlant maintenant d’agression sexuelle qui se résume par une pression dont il se dit victime. Depuis quand une pression peut-elle être assimilée à une agression sexuelle? Cela s’appelle harcèlement si la victime réussit encore à le prouver.
Les avocats auraient dû lui signifié qu’on ne peut pas parler de viol tant qu’il n’y a pas eu de pénétration. Simba Khaled confirme lui-même l’absence de pénétration dans une hésitation flagrante qui résume au grand jour les doutes de l’opinion.
Alors pourquoi a-t-il parlé de viol alors qu’il reconnaît lui-même qu’il n’y a pas eu de pénétration ? Comment peut-on faire confiance à une personne qui change de version toutes les semaines ?
Lisez bien les propos de Simba Khaled, il avoue tout le contraire de ce qu’il avait dit, il commence à avoir peur, ses avocats devraient commencer réellement à douter de la crédibilité des propos de leur client. À ce stade, on attendait que la fin du cinéma de Simba Khaled. À travers cette sortie médiatique, ses proches devraient être actuellement déçus de cette nouvelle version. Les nombreuses contradictions et les incohérences des propos fatiguent. À la justice de faire maintenant son travail sans aucune partialité.
wait and see
Sefrick Abdou
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