
La dégradation de la coopération entre les Comores et l’Arabie saoudite même les dons précédemment fournis en grandes quantités, tels que les dattes, les moutons et les bœufs, ne sont plus distribués.
Le peuple comorien a toujours entretenu des relations amicales avec l’Arabie saoudite. Mais depuis l’arrivée du nouvel ambassadeur saoudien, les relations ont fortement décliné. Le manque d’aides et de soutiens de l’Arabie saoudite est devenu évident et cela est de plus en plus préoccupant.
Nous avons été témoin de la dégradation de la coopération entre les deux pays, au point où les dons de moutons et de dattes pour l’Aid el fitr ne sont plus parvenus l’année dernière. Les projets et les négociations entreprises n’ont jamais abouti et les paroles de soutien ne sont que des mensonges.
Nous regrettons cette situation, car l’Arabie saoudite est un pilier important dans la politique-religieuse et la stabilité de notre cher pays.
L’Arabie saoudite a toujours aidé les Comores sur divers angles, notamment lors du mois de ramadan. L’Union des Comores a eu une très belle histoire avec les Saoudiens sur le plan économique et social, mais aujourd’hui, rien n’est comme avant.
Nous appelons donc à l’amélioration des relations entre les deux pays. Nous invitons également les autorités comoriennes à entamer des pourparlers avec l’ambassadeur saoudien afin de renforcer les liens amicaux entre les deux pays.
Nous souhaitons que cette situation soit prise en compte et que des mesures concrètes soient prises pour rétablir la coopération entre les Comores et l’Arabie saoudite.
Nous sommes extrêmement préoccupés par cette situation car depuis l’arrivée du nouvel ambassadeur saoudien la coopération entre nos deux pays s’est considérablement détériorée, malgré l’histoire positive de collaboration économique et sociale que nous avons partagée auparavant.
Nous sommes profondément frustrés par le manque d’aide accordée à notre pays, en particulier lors des périodes de Ramadan et de l’Aid el Fitr.
Les dons précédemment fournis en grandes quantités, tels que les dattes, les moutons et les bœufs, ne sont plus distribués, laissant de nombreux Comoriens dans une situation difficile.
Nous avons également constaté que les autorités et les dirigeants religieux ne bénéficient plus de voyages Umra ou Hadj, ce qui était autrefois une démonstration de la coopération positive entre nos deux pays.
Nous comprenons que l’Arabie saoudite est un pilier important de la politique-religieuse et de la stabilité des Comores, et nous sommes convaincus que renforcer nos liens amicaux est essentiel pour notre avenir commun. Nous appelons donc à une coopération plus étroite entre nos deux pays et à la résolution rapide de tous les différends qui entravent notre collaboration mutuelle.
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