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L’ancien vice-président Djaffar Ahmed Saïd est gracié et pourra rentrer aux Comores

L’ancien vice-président Djaffar Ahmed Saïd, condamné par la Cour de sûreté de l’État en décembre 2018 à la peine de réclusion criminelle à perpétuité, est gracié de la totalité de sa peine par le chef de l’État Azali Assoumani ce 12 mai. Il s’était réfugié à Dar es Salam depuis mi-2018, il a été condamné par accoutumance.

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2 commentaires sur L’ancien vice-président Djaffar Ahmed Saïd est gracié et pourra rentrer aux Comores

  1. Une demande de grâce satisfaite ou une histoire de corriger une injustice?

    Chacun sait que les condamnations touchant les personnalités politiques ne sont argumentées d’aucune preuve. C’est juste une volonté de museler les voix divergentes pour mieux assoir la dictature. Si non, comment gracier, totalement, une personne condamnée à vie sans qu’il n’ait exécuté une partie de sa peine? Pourquoi DJANFAR et pas tous les autres condamnés sans procès équitable et sans preuve de culpabilité? Comment gracier une personne qui n’a jamais fait aveu de culpabilité sur le complot contre lui? La seule explication tangible: DJANFAR fut ,injustement, condamné et la réparation s’est imposée. Quand Azali finira par se rendre compte que les détentions arbitraires de tous les hommes politiques ,comme de certains activistes, n’ont aucune raison d’être. Azali doit libérer toutes les personnes, injustement, détenues. Il doit, aussi, libérer le pays. Que DJANFAR ne tombe dans un piège tendu par un homme sans parole.

  2. Une demande de grâce satisfaite ou une histoire de corriger une injustice?

    Chacun sait que les condamnations touchant les personnalités politiques ne sont argumentées d’aucune preuve. C’est juste une volonté de museler les voix divergentes pour mieux assoir la dictature. Si non, comment gracier, totalement, une personne condamnée à vie sans qu’il n’ai exécuter une partie de sa peine? Pourquoi DJANFAR et pas tous autres condamnés sans procès équitable et sans preuve de culpabilité? La seule explication tangible: DJANFAR fut ,injustement, condamné et la réparation s’est imposée. Quand Azali finira par se rendre compte que les détentions arbitraires de tous les hommes politiques ,comme de certains activistes, n’ont aucune raison d’être. Azali doit libérer toutes les personnes, injustement, détenues. Il doit, aussi, libérer le pays. Que DJANFAR ne tombe dans un piège tendu par un homme sans parole.

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