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L’accusé refuse les accusations, la victime a présenté ses preuves aux enquêteurs

Affaire d’harcèlement à Comores Télécom: Le directeur général de la société d’état Comores Télécom a ordonné l’ouverture d’une enquête sur l’affaire de la suspension de la receveuse de l’agence de Comores Télécom sise à Volo-volo, qui a refusé de coucher avec son Supérieur hiérarchique. Aujourd’hui, cette femme courageuse a présenté toutes les preuves de l’harcèlement qui l’a subi aux chefs de certains départements. Une décision de la part du DG Mladjao est attendue dans les prochains jours. Moustoifa sera sera-t-il suspendu? Le temps nous le dira. Mais une autre source nous a précisé que le directeur de cabinet du chef de l’État connu sous le nom de Belou issu de la même ville que l’accusé, interviendrait en faveur de « l’harceleur ».

L’accusé nous a contacté au téléphone. Selon lui, il s’agit d’une <<insubordination>>. Il met Fatouma au défi : « je ne lui ai envoyé que deux messages professionnels. Elle ne pourra en aucun cas prouver que je l’ai harcelé ».

Lire aussi : Mladjao et Moustoifa suspendent une femme à Comores Télécom pour avoir refuser de coucher avec son chef

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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