La réponse du gouvernement ne s’est pas fait attendre. Le ministre des affaires étrangères et le ministre de l’intérieur ont tenu une conférence de presse commune. « Le référendum aura lieu comme prévu, l’Union Africaine n’a pas à nous dicter la politique de notre pays », on déclaré comme d’une seule voix les deux ministres. Regardez la vidéo ci-dessous :
La solution du développement économique et sociale est dans les mains de la population.
La révolution doit commencer par les jeunes des différents régions et villes en corrigeant les autorités locales. Chaque ville donne leçon à son « enfant politique ». Ne l’acceptent pas lorsqu’il détourne les fond public. Ne lui soutient pas si la justice fait son travail et lui faire ce que le président ALI Soilih (qu’ALLAH l’offre son paradis)faisait : NA REMEWA NGOUGOU YAVAHOI.
la population doit se dire que c’est une honte que tu as fait à notre famille, ville ou région. Dans ce sens les choses pourrons changer.
Si la population continue à applaudir, protéger et soutenir ses voleurs alors ne pleur pas si vous êtes dans la misère.
Dieu nous appris: il ne change pas une situation d’un peuple tant que ce peuple ne change pas.
Moi je rajoute qu’on peut changer les mentalités même si c’est très difficile.D’autres penseurs disaient: pour changer de politique on change de têtes.
Quand le pays sera à feu et à sang ,chose que je ne souhaite pas,Azali à ce moment là ira taper à la porte de l’union africaine pour crier au secours .Heureusement que le ridicule ne tue pas
D’après RFI ce matin le lobbing des autorités comoriennes a marché au niveau des Chefs d’États au sommet de Mauritanie concernant l’organisation du référendum. Des amendements seront apportés à la résolution qui a été prise contre le référendum.
wagazidja moutsopara yio muytsaha ………imbecile ministre …regarde ca tete .on dirait un facochere ……
L’UA est signataire de l’Accord de Fomboni et membre du comité de Suivi dudit Accord. Ce comité de suivi est chargé, entre autres, d’arbitrer tout différend relatif à la mise en oeuvre de cet Accord. Il s’avère que l’implication de l’UA est incontournable dans toute décision relative à l’Accord de Fomboni. D’autre part, toute élection organisée dans un pays, quel qu’il soit,doit être validée par la communauté internationale en vertu du droit international. C’est pour dire que le gouvernement du Président AZALI ne peut pas organiser un référendum valide pour modifier l’accord de Fomboni dans ce contexte de crises institutionnelles et politiques sans précedent.