«Nous n’avons aucun problème pour vivre et échanger avec nos frères et nos sœurs des trois autres îles. Nous participons à toutes les activités, que ça soit culturelles, sportives ou autre sans aucun prétexte. Il y a un problème politique et c’est au président Azali et le président Macron d’en trouver les solutions», a déclaré l’un des membres de la délégation mahoraise, Ahmed Saïd Kafé.
Venue assister au 44ème anniversaire de l’indépendance des Comores, la délégation mahoraise de dix personnes a été reçue par le chef de l’Etat, Azali Assoumani, dans son palais présidentiel de Beit-Salam. Après la rencontre qui s’annonçait fructueuse, l’un des membres de la délégation a confié à la presse l’objectif de la rencontre.
«On nous a convié ici à Beit-Salam pour échanger entre nous, délégation mahoraise, et le président de l’Union des Comores. Le président nous a fait savoir qu’on laisse la politique de côté et discuter dans la fraternité avec le sang qui nous unit. Nous sommes venus dans ce même cadre de la fraternité, des relations entre nous. Nous sommes venus voir nos frères. D’ailleurs, j’ai résidé des années ici à Ngazidja et j’ai des frères et sœurs ici. Je profite de l’occasion pour tenir la cohésion de notre peuple», a déclaré Ahmed Saïd Café.
Sur la question des relations entre les mahorais et les habitants de trois autres îles, Ahmed Saïd Café a affirmé qu’il y a aucun problème entre les mahorais et leurs frères et sœurs des autres îles. «Nous n’avons aucun problème pour vivre et échanger avec nos frères et nos sœurs des trois autres îles. Nous participons à toutes les activités, que ça soit culturelles, sportives ou autre sans aucun prétexte. Il y a un problème politique et c’est au président Azali et le président Macron d’en trouver les solutions», dira-t-il avant de conclure qu’en «dehors de la politique, toute est faisable». «Nous, simples citoyens, devons faciliter tout ce qui est relations entre les hommes. Cette distinction politique ne doit pas empêcher cela», a-t-il fait savoir avant de montrer que la question des pèlerins mahorais était parmi les points abordés lors de cette rencontre.
Chamsoudine Saïd Mhadji / Alwatwan
Soyons vigilants car ces gens là nous ont trompé plusieurs fois.
En effet, avec ces gens là à chaque fois que leur donne un doigt, ils nous prennent la main.
Pèlerins, jeux …
Par ailleurs, je crois qu’envoyé le fils de Said Café comme émissaire n’est pas innocent, je dirai même qu’il est très intelligent pour les harkis mahorais.
En effet, pour les jeunes qui ne connaissent pas Said Café, ce dernier était un fervent partisan du Mayotte comorienne et était ministre du président Ahmed Abdallah.
Il était ce que les harkis mahorais appellent un « serré la main ».
Mais ne soyons pas naïfs, le fils n’est pas forcement le père.
En fait, sans tomber dans la paranoïa, nous devons prendre tout approches de ces gens avec toutes les prudences possibles et imaginables ils n’ont jamais étaient honnêtes avec nous alors prenons les comme ils sont.
Mais bon Azali c’est Azali et la diplomatie pour les nuls du petit Amine ne changera pas…
Je vais finir par ces mots, « lorsque le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt ».
Arrêtez de vous rediculisé comme des abrouti, c pas une délégation mahoraisse. Les mahorais sont pas bêtes à ce point, c plutôt une délégation comoriens qui sqoité les maorais et ils ont intérêt à ne plus remettre leurs pieds à Mayotte c traître…
Nous on ne connait pas cette délégation. Cette délégation parle pour eux, ils ne représentent pas la population mahoraise. Contrairement à ceux que beaucoup disent, les relations sont bonnes pour tous le monde à Mayotte. Le racisme est envers ceux qui construisent sur les terrains des autres. Nous on veut des personnes respectueuses
Guédzé daba la Ahmed said kafé, tu est venu voir tes frères à toi seul. Les maorais n’ont jamais été frère avec c traître comoriens et je c trop se qu’ils ont fumer les qlq maorais qui étaient venus là-bas mais c sont des vrais cons….
Ils ne sont heureusement des mahorais. Un mahorais ne trahira jamais Mayotte la française.