La corruption devient de plus en plus une monnaie courante aux services des impots de la grande Comores. L’actuel directeur crée sa propre caisse qui s’occupe des enregistrements « fantômes » avec la complicité de certains agents qu’il a pu maitriser depuis qu’il est en fonction.
La caissière ne gère que les petites affaires : timbres, jugement et les plans croquets. C’est l’assistant conservateur qui est chargé des immatriculations des immeubles et les opérations à grandes revenues, pourtant son travail ne consiste qu’à livrer les informations nécessaires aux » clients « . Pire, les autres asministrateurs ne savent pas là où est versé ces sommes colossales.
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