Dans une interview récente, le journaliste nono a vivement insulté et menacé un autre journaliste militant, Abdallah Agwa. Ces propos, d’une extrême violence, ont choqué la communauté comorienne, d’autant plus qu’ils ont été tenus durant le mois sacré du Ramadan. Les valeurs de l’éducation islamique des Comores sont bafouées par ce comportement inacceptable.
Nono a dépassé les limites en menaçant Agwa de mutilation et en évoquant l’idée de placer son corps dans un sac plastique pour le ramener à Ntsudjini. Ces menaces choquantes méritent une réponse ferme de la part de l’État et du parti au pouvoir, qui se doit de promouvoir la paix et la tolérance.
Il est essentiel que des sanctions soient prises pour dénoncer ces appels au crime et ces propos contraires à l’éducation islamique comorienne. Si l’État ne réagit pas, cela pourrait être interprété comme une complicité ou une acceptation d’une telle dégradation des valeurs morales et éducatives du pays.
La dignité et la tradition des Comores sont en jeu. Les notables du village de nono, ainsi que les journalistes du pays, doivent se mobiliser pour condamner fermement ces propos et exiger des sanctions appropriées. Il est inadmissible qu’une figure publique, adulte et responsable, tienne de tels discours.
Que le bon Dieu aide les Comores à préserver leur éducation islamique et à défendre leurs valeurs fondamentales.
Antuf chaharane
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