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« Il ne faut surtout pas laisser ce voyou faire campagne et prospérer »

 

 

Mnanyuni perdu…

« Kiki est un homme de principe. » Rawahu, Papa, de Chaine Libre des Comores.
Quant à son acolyte, le compatriote Said Hassani, qui sautillait comme le ferait une souris attirée par des odeurs de fromage, il me déçoit de plus en plus.
J’aimais beaucoup cet homme. Quand il s’est lancé dans le journalisme, je disais à ses proches, dont certains sont des amis, que je voulais l’aider à progresser. Il était à l’origine d’un nouveau concept et affichait une innocence (de façade) qui me séduisait. Il avait un côté puéril et forcené qui trouvait grâce à mes yeux.

Voilà que depuis quelques mois déjà, son vrai visage se dévoile aux yeux de tous. Un homme intéressé et peu convaincu, un journaliste à la moralite suspecte.
Son compagnon, que je respectais également, me paraît d’une légèreté abyssale. Son côté rigolo ne peut tout excuser. Les deux, avec tout le respect que je leur devais, sont des véritables girouettes, des hommes sans conviction, des journalistes sans ligne éditoriale.

Accueillir Kiki en fanfare à l’aéroport et aller jusqu’à trouver en ce bourreau, un homme digne, sérieux et de conviction, est une insulte à la souffrance des Comoriens. C’est une sorte de prostitution journalistique, de mendicité politique, de mercenariat intellectuel. Tu es un salaud ? Pas de problème. Partage le pognon, tu deviendras, par mes soins, un Saint homme !

Tout mon mépris pour ces hommes pour lesquels, j’eus un immense respect.

Quant au sinistre Kiki, qui a déjà sevi alors au ministère de l’intérieur, je demande à ce qu’une insolence citoyenne lui soit appliquée. Comoriennes, Comoriens. Si vous tombez sur ce malheureux, agissez en conséquence. Nous vous soutiendrons. Il ne faut surtout pas laisser ce voyou faire campagne et prospérer. Sa place, après l’enfermement de Agwa et la mort de Bapale, est, soit en prison, soit dans un trou creusé par des fossoyeurs peu naïfs. Surtout pas à la tête de notre pays.

Omar Ali alias Comores Mandza 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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