Moindjie Mohamed Moussa envoie un message fort aux enseignants grévistes. « L’éducation est une dette générationnelle. À notre époque, de la classe de 3e au Terminale nous étions enseignés par des étrangers ».
Si à la question d’un journaliste le ministre s’est rétracté sur l’idée de remplacer les enseignants comoriens par des étrangers sans pour autant renoncer à ses propos, quelle pourrait être l’opportunité d’un tel rappel si ce n’est qu’il pourrait s’y appliquer si les enseignants refusent de faire la rentrée ?
c’est comme cela quant on n’a pas d’alternatives mais grave pour un ministre de menacer des gens qui réclament un dû.
On dirait que le ministre de l’éducation rêve.
C’est une question d’argent que l’état n’ose pas donner aux enseignants.
Ce sont vraiment des idées folles qu’il évoque.Manque de sentiment dans son âme.Où trouverra-t-il de l’argent pour payer ces enseignants étrangers?Ce ministre est malade,fatigué.Car l’état est trop malade,fatigué,plein de rencunes.C’est tout.