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France : Samir a tué sa mère en l’égorgeant

France. Un homme de 40 ans reste en détention dans les locaux de la sûreté départementale, affirmant avoir prémédité son acte. Son fils, ne supportant pas ce dernier rejet de sa mère, demeure en garde à vue ce jeudi à Cergy (Val-d’Oise), au sein des installations de la sûreté départementale. Les soupçons pèsent sur cet homme de 40 ans, accusé d’avoir égorgé sa mère mercredi après-midi au domicile de celle-ci à Cergy. Il était environ 15h20 lorsque le quadragénaire a franchi les portes du commissariat. « Il était couvert de sang et affirmait avoir tué sa mère », a déclaré une source proche de l’affaire.

Les agents se sont rendus à l’appartement situé allée des Courlis et ont découvert le corps sans vie de cette femme de 62 ans. Elle gisait dans la cuisine, égorgée. Les fonctionnaires ont retrouvé le couteau dans l’évier. Le fils meurtrier a été placé en garde à vue. Lors de son interrogatoire, il a avoué son crime dans son intégralité. Il a reconnu avoir prémédité son acte deux jours auparavant. « Cet homme en dérive explique qu’il souffre d’une forte dépendance au cannabis depuis plus de dix ans », a précisé une source proche du dossier. Sa consommation a entraîné la perte de son emploi et une rupture avec sa famille. Depuis un certain temps, Samir n’arrivait pas à trouver un logement stable et passait d’un hébergement à l’autre.

Projet sinistre de matricide

Avant de mettre en œuvre son projet sinistre, il avait une fois de plus demandé à sa mère de l’héberger, mais la sexagénaire aurait refusé. Le fils meurtrier a néanmoins réussi à entrer dans son appartement. Il l’aurait tout d’abord étranglée par derrière. Lorsque sa mère est tombée à terre, il lui aurait donné des coups de pied à la tête avant de l’égorger avec un couteau trouvé dans la cuisine. « Samir affirme ne ressentir aucune émotion et assume pleinement ses actes », a précisé la même source.

Soibah Said

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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