Les prochaines élections présidentielles, en Union des Comores, ne seront pas transparentes. Et pour cause, la Ceni , l’armée et la Cour suprême sont sous le contrôle du président ce qui pose un problème majeur pour la crédibilité des élections. Pour résoudre ce problème il faut reporter la date prévue pour les élections afin de réexaminer la question.
Les points à examiner en profondeur incluent le rôle que doit jouer l’armée durant la période électorale, l’organisation de la Ceni et la Cour suprême en tant que juge électoral. Toutefois, il est important que pendant cette période de transition, Azali ne soit pas à la tête de l’Etat, à moins qu’il ne compte pas se représenter.
Il est essentiel de penser à l’avenir du pays et de veiller à ce que les élections soient justes et équitables pour tous les candidats. Si ces questions ne sont pas examinées avec soin, cela pourrait conduire à un conflit post-électoral et compromettre la paix et la stabilité du pays. Il est donc crucial de prendre des mesures pour garantir des élections libres et équitables en Union des Comores.
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