
Un nouveau drame vient de frapper la nation. Djamlati Hassane Djaé, une jeune femme originaire de Nroude Mboinkou et de Mtsamdu Oichili, a été retrouvée morte à Itsinkudi Oichili, dans des circonstances tragiques. Le principal suspect, Ali Hassani, 31 ans, originaire de la même région, a été arrêté et se trouve actuellement en garde à vue.
Ce crime atroce s’ajoute à une série d’événements sanglants qui, depuis plusieurs mois, plongent le pays dans un climat d’insécurité grandissante. Meurtres, disparitions inquiétantes, agressions : les Comoriens vivent dans la peur. L’État semble dépassé, et la société glisse dangereusement vers l’acceptation de l’inacceptable.
Un climat de peur généralisée
Ce n’est plus une impression : la violence gagne du terrain. Dans les rues, dans les foyers, même dans les villages autrefois paisibles, la menace est omniprésente. Le tissu social est déchiré, la peur s’installe, et les citoyens se sentent abandonnés.
Les discours politiques se multiplient, mais les actes concrets tardent à suivre. La justice est lente. Et les familles endeuillées, elles, attendent des réponses.
L’appel à des sanctions exemplaires
Face à cette escalade, de plus en plus de voix s’élèvent pour réclamer une réponse ferme et dissuasive. Pour certains, il est temps de remettre sur la table une mesure radicale : l’application stricte et immédiate de la peine de mort pour les auteurs de crimes les plus abominables.
L’objectif ? Briser la spirale de l’impunité. Faire comprendre que tuer une personne n’est pas un acte sans conséquences graves. Exécuter les meurtriers condamnés après un procès équitable, c’est envoyer un signal fort à tous ceux qui considèrent la vie humaine comme négligeable.
La justice ne peut plus se permettre d’être timide. Elle doit être ferme, visible, et exemplaire. La société comorienne réclame des sanctions à la hauteur des drames qu’elle endure.
IBM
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