Depuis l’incident survenu vendredi 13 septembre dernier à Salimani, l’absence d’Azali Assoumani, président des Comores, suscite une vive inquiétude et de nombreuses spéculations. Le président, qui devait assister au maoulid gouvernemental dimanche soir, a manqué cet événement important. Seules sa famille proche et son médecin étaient présents, sans explication publique sur son absence.
Des rumeurs circulent concernant son état de santé et sa localisation. Certaines sources avancent qu’Azali aurait quitté le pays pour la Belgique de manière discrète, tandis que d’autres affirment qu’il serait resté à son domicile à İtsandra.
Selon des informations récentes, le président aurait demandé à ses forces de l’ordre de ne pas malmener le jeune homme qui avait tenté de l’attaquer. D’après un informateur, au moment de l’arrestation de l’assaillant, Azali aurait spécifiquement recommandé de le traiter avec douceur. Si l’hypothèse selon laquelle le jeune homme aurait été exécuté se confirme, cela soulèverait la question de possibles désobéissances au sein de l’armée, ouvrant la voie à un autre problème majeur de commandement.
La situation reste floue, et les Comoriens s’interrogent sur le sort du chef de l’État, ainsi que sur les tensions internes qui pourraient se révéler dans le contexte de cette affaire.
ANTUF Chaharane
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