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D’ici la fin de l’année, la moitié des Comoriens feront de la prison

Opinion libre: Le sanguinaire AZALI noirci par le mal va finir par emprisonner la moitié de la population des Comores notamment le quart des officiers militaires dans moins de huit mois.
Cette politique de la terreur est confiée à des drogués institués en marchands de la mort sous le nom de PIGN. Ce machin diabolique arrête, torture, tue et surtout fait disparaître.
YOUSSOUF IDJIHADI, le Chef d’Etat major dont la fonction est exercée par FAKRI MRADABI avec l’appuie des instructeurs russes et saoudiens, a disparu.

Le Colonel CAMPAGNARD, Président du C N T a disparu. Tous ceux qui ont servi le café, qui ont salué CAMPAGNARD depuis le dépôt de sa candidature sont persécutés, arrêtés et torturés.

La population civile a raison d’avoir peur, car même les militaires, pourtant nombreux à s’opposer à la tyrannie ne font rien. Un petit soldat peut facilement entrer dans l’histoire des grands hommes; en vérité le dictateur a peur qu’il ment sur ses déplacements. Hier ses maigres compagnons d’infortunes sont venus l’accueillir à Ouani et à leur grande surprise, ils ont appris que le Führer était déjà venu la veille au soir.
Les mauvaises langues parlent d’un voyage par la vedette rapide de son esclave ANISSI, Gouverneur désigné.
Le peuple comorien prend note de tous les pays ennemis des Comores qui s’empressent à reconnaître le pouvoir usurpé par AZALI et des élections indiscutablement frauduleuses. Russie, Chine, nostalgiques du communisme qu’ALI SOILIH avait tenté d’introduire au Comores en 1975 après le coup d’Etat de la honte du 3 Août. HAMADA BOLERO et DJAZA ont tous deux fait leurs études en Russie; suivez mon regard.
L’Arabie Saoudite poursuit sa politique terroriste depuis le massacre dans les Tours jumelles du 21 Septembre 2011 du saoudien Ben Laden, afin de déstabiliser l’occident dans l’océan indien.
Le réveil des comoriens serait sans pitié. Nous autres sommes échaudés par la folie populaire séparatiste d’août 1997.
Que vive la résistance!

BEN ALI.

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