«Nous avons mis en place un comité, au sein duquel des sous-comités, notamment scientifique. Pendant les trois fois que le président de la République les a reçus, il n’a rien compris de leurs doléances. Rien de rien », regrette son directeur de cabinet, affirmant que c’est Azali lui-même qui lui a fait part de sa déception.
Ses griefs contre le personnel médical ne s’arrête pas là. Il dit ne pas comprendre que le 70 médecins de l’hôpital de référence nationale El-maarouf « ne sont pas capables d’établir une facture pro forma pour un scanner de 200 millions (de nos francs) et la soumettre au gouvernement ».
Aux Comores il n’existerait qu’un seul appareil d’imagerie médicale et ce dans un établissement de santé privé. « Aucun médecin ne croit en ce qu’il fait », devait-il tonner lors de cette réunion filmée et diffusée en direct sur Facebook, ce dimanche, visiblement à Foumbouni, au sud de Ngazidja.
Par Toufeyli Maecha
Titre: Comores Infos
Sauve qui peut .Vous avez dit Medecin? Mais il n’ya pas des Medecins aux Comores que des charlatents Incapables de faire un dianostique de guerir une simple grippe en la confondant avec une operation nessaicitant une évacuation.
La vérité qui fâche. Des médecins au rabais avec des diplomes achetés à madagascar ou ailleurs. Les populations qui ne leur font plus confiance. Beaucoup de comoriens préfèrent immigrés pour sauver leur peau de ces medecins incapables. Pour Un simple égratignure autant fuir.