Quand le parquet et l’assemblée nationale violent la loi pour des raisons politiques, c’est un signal très fort pour la consolidation de la dictature.
Sommé par le parti au pouvoir, le procureur de la république a obligé le bureau du parlement à légiférer dans l’illégalité absolue. Seulement deux membres du bureau de l’AN sur neuf ont siégé, ce qui est nettement en dessous du quorum requis.
Les deux usurpateurs ont fait, contrairement au règlement intérieur de l’AN, usage de plusieurs procurations, une procédure anti démocratique digne d’une tyrannie.
Pour couronner l’absurdité politique, les deux députés du pouvoir ont refusé la levée de l’immunité parlementaire de leur collègue du parti au pouvoir tout en mettant en pâture expressément les députés de l’opposition.
Cette collusion incestueuse entre le pouvoir judiciaire et le pouvoir législatif sur ordre du pouvoir exécutif sonne le glas pour la démocratie.
Dini Nassur
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Mais je suis vraiment désolée , quand tu vois se monsieur et quand tu l’attend parler ,tu t’imagines avec un apprenti forgerons que je respecte beaucoup les forgerons car mon grand père été bricoleur forgeron donc c’est un métier noble.mais sencererment je suis vraiment désolée se monsieur mérite d’aller s’acheter une pirogue et partir à la pêche .il a pas sa place au palais de justice c’est un charlatan je suis sur que c’est sont des diplômes de Tananarive , vive les Comores libres