À Anjouan on l’appelle « son excellence El-maestro ». Au petit matin de ce lundi il s’est fait prendre la main dans le sac dans un de ses quartiers préférés de Mutsamudu, Hampanga. Livré à une vindicte populaire, il a reçu des méchants coups de poing, pied, voire de pierre.
Ceux qui ont vu El-maestro dans son état craignent qu’il ne vive encore longtemps, car complètement démoli. Fait qui confirme cette crainte, la gendarmerie nationale a refusé de le prendre « de peur qu’il ne meurt » dans leurs mains. Ses bourreaux sont encore en liberté et rien ne dit qu’ils seront inquiétés. En 2016, un certain Brando a été froidement tué et démembré à Mutsamudu sous les yeux des forces de l’ordre et des magistrats. Ses bourreaux ont brandit ses membres tél un trophée dans les rues de la capitale Anjouanaise. Des images de cette scène macabre sont diffusées sur la toile. La justice comorienne a préféré enterrer le dossier, Brando n’étant pas parmi ces comoriens bien nés qui ont des proches aux bras longs.
Cela justifie que tous les agressions par armes blanches qui se fait à Mayotte ,à 98% ,c’est commise
par les Anjouanais .
Des individus qui rentrent en toute impunité dans un Trubinal extirpés un prisonniers le démembrés et défilés sur les rues de leur Capitale MUTSAMUDU avec les membres d’un etre humain » pire que du CANIBALISME » .