Azali Assoumani et son équipe sont en pleine pré-campagne, sillonnant les quatre coins de l’île pour rallier des soutiens à leur parti. Cependant, une question absurde se pose : contre qui Azali fait-il campagne ? Pour l’instant, aucun adversaire n’est en vue.
Il semble que la véritable course d’Azali ne soit pas contre un adversaire politique, mais pour préparer le terrain à une éventuelle manipulation électorale. Sa campagne semble être une stratégie pour légitimer une fraude électorale anticipée, une course pour donner une image acceptable à la communauté internationale.
En effet, en l’absence d’un adversaire clairement défini, la campagne d’Azali ressemble plus à une tentative de légitimation d’un processus électoral déjà truqué qu’à une véritable compétition démocratique. C’est comme s’il courait un marathon contre des fantômes invisibles, une course où le seul véritable adversaire est la vérité.
ANTUF Chaharane
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