
Tribune libre: Dieu a voulu bien faire les choses : le dimanche, le jour des manifestations, coincide avec la venue de du GOZIBIVIRUS à Paris.
Nous sommes à l’avant dernière manifestation précédant la chute du régime de la criminalité, de la pédophilie, de l’homosexualité, bref de tout ce qui s’oppose à la morale et à l’éthique.
La force tranquille de la diaspora doit l’emporter contre les clivages stériles du « nous », « vous » et « eux » afin de faire trembler le dictateur et ses soutiens, pour détruire l’orgueil, l’autosuffisance de ce sanglant et maudit tyran qui s’est trompé de siècle.
AZALI doit être éprouvé par ce déplacement risqué et les Chefs d’états et de Gouvernements présents doivent comprendre qu’il y a un intrus parmi eux, un individu qui affame et tue son peuple, un anarchiste qui assassine les lois démocratique et s’érige en monarque de droit divin.
L’examen de la diaspora consiste à prouver si les centaines de manifestations hebdomadaires ont su faire prendre conscience à la communauté comorienne que le mal des Comores a un nom: AZALI. Et ce mal est à Paris tôt le matin du 16 mai 2021.
AZALI a massacré une dizaine de comoriens tués sans sommation, condamné en prison sans procès des dizaines de prisonniers otages notamment un ancien Président et un gouverneur en exercice et plusieurs politiciens.
Le 08 Avril, il a fait exécuter un officier et l’a enterré comme un chien avant d’être déterré par un peuple révolté essuyant des tirs d’armes.
Comme un rituel, le 08 Mai, il a fait tuer, après un viol, une fillette de 5 ans pour un sacrifice humain selon des croyances primitives qui lui accorderaient une longévité au pouvoir. Le procureur de la dictature a laisser libre les deux coupables.
Alors, faites le savoir au monde, à la France, Mesdames et Messieurs de la diaspora. Nous vous faisons confiance !
BEN ALI.
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