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Acte xénophobe et irresponsable commis par un officier Supérieur de la gendarmerie qui a agi à son nom personnel

Acte xénophobe et irresponsable commis par un officier Supérieur de la gendarmerie qui a agi à son nom personnel et non dans le compte du corps qu’il appartient.

Cette maison a été construite à Iconi dans la propriété de Salim Djabir, ex-president de l’Assemblée Nationale par l’initiative de l’un de ses héritiers.
Malgré la décision définitive de la justice, la nuit du 31/08/21, un officier Supérieur de la gendarmerie accompagné des bandits manifestement ivres l’ont illégalement démolie sous les yeux attentifs des voisins.
Devant une telle situation, je demande à la communauté mohelienne de la grande comore de ne pas répondre à cette provocation et de continuer à faire confiance à la justice car dans un Etat de droit, personne n’est au-dessus de la loi.
Que dieu lui pardonne ses péchés et lui placer sur le chemin de la droiture.

Soilihi Mahamoud, ancien procureur

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2 commentaires sur Acte xénophobe et irresponsable commis par un officier Supérieur de la gendarmerie qui a agi à son nom personnel

  1. Cet ancien procureur est un sale mec, un mauvais type, un commerçant du droit, un corrompu de la première heure, une pouriture de la pire espèce. Pendant qu’il officiait comme procureur, sa priorité fut de faire de la justice une boutique de quartier. Des personnes poursuivies et condamnées étaient libérées contre de l’argent ou du droit de cuissage par cet individu. Pire, des innocents se faisaient détenir, sans jugement, après que ce dit procureur ait perçu des dessous de tables par des commanditaires, les vrais coupables. Aujourd’hui, il sort d’on ne sait où pour donner une leçon de morale qu’il ignore. Qu’il aille au diable, Satan l’y attend. Enfin, nommé contre je ne sais quoi comme secrétaire général de la magistrature suprême, il n’a pas à porter une affaire en cours d’instruction sur la place publique. A moins de vouloir influencer et instrumentaliser la justice. Il n’a pas raccrocher son rôle de magistrat corrompu. Un jour, l’histoire lui rappellera ses actes posés dans la justice comorienne et le droit lui attribuera sa peine incompressible.

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