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Une première audience de l’ambassadeur saoudien après son accréditation

Le diplomate a salué les efforts entrepris par les autorités comoriennes visant à améliorer les conditions de vie de la population. Attallah Ben Zaid citera notamment les projets dans le domaine énergétique, les projets routiers ainsi que les programmes dans le domaine de la santé.

Le président de la République, Azali Assoumani, a reçu en audience, en début de semaine, l’ambassadeur du royaume d’Arabie saoudite auprès de l’Union des Comores, Attallah Ben Zaid au palais présidentiel de Beit Salam. Leurs échanges ont porté sur le renforcement de la coopération bilatérale entre les deux pays, mais aussi les nouveaux volets de la coopération bilatérale qui devraient faire l’objet d’échanges ultérieurs.

Selon Yahaya Mohamed Iliyassa, conseiller du chef de l’Etat chargé de la coopération avec le monde arabe, le chef de l’Etat et son hôte ont évoqué, dans leurs échanges, les possibilités de mettre en œuvre des accords de coopération dans les domaines qui devraient répondre à la vision de faire les Comores un pays émergent d’ici 2030.
«Les Comores et l’Arabie saoudite entretiennent des liens forts.

Les échanges se focalisent sur la diversification de la coopération et la poursuite des projets déjà entérinés par les deux pays», a-t-il souligné, rappelant «le rôle stratégique de l’Arabie saoudite» dans le développement des îles.Le diplomate saoudien a salué les efforts entrepris par les autorités comoriennes visant à améliorer les conditions de vie de la population.

La mise en œuvre des accords de coopération

Attallah Ben Zaid citera notamment les projets dans le domaine énergétique, les projets routiers ainsi que les programmes dans le domaine de la santé.«Nous saluons cette volonté du chef de l’Etat, Azali Assoumani, à renouer avec un développement multisectoriel. L’Arabie saoudite fera tout pour aider les Comores à réussir son plan d’Emergence à l’horizon 2030», a souligné l’ambassadeur.

Le diplomate saoudien, Attallah Ben Zaid a saisi cette opportunité pour transmettre au Chef de l’Etat comorien, les salutations des autorités saoudiennes respectivement le roi Salman ben Abdelaziz Al Saoud et le prince héritier, Mohammed ben Salman.

Abdallah Said Ali / Alwatwan

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2 commentaires sur Une première audience de l’ambassadeur saoudien après son accréditation

  1. Lorsque j’ai vu les premiers mots du titre, j’ai cru devoir m’attendre à la lecture de la première audience relative à l’affaire BAPALE. Quand j’ai vu le nom de l’ambassade d’Arabie saoudite, j’ai pensé à celle du FEU KASHOGUI. A la lecture de tout le texte, j’ai compris qu’il s’agit d’une association de malfaiteur avec comme objet: DECOUPE EN TRANCHE DES CORPS HUMAINS DE PREFERENCE VIVANTS. QUESTION: Le siège social sera-t-il à Istanbul ou Anjouan? Histoire de prévenir les citoyens des futures atrocités et du choix des découpes en tranches ou par membre. Dans tous les cas, nombreux sont les comoriens non partisans de l’initiation à ces pratiques inhumaines et anti religieuses. Il faut être Satan ou le diable pour ne pas solliciter dieu à l’effacement de ces régimes assassins. Et dire que le boucher de Moroni se prend pour un Arabe de la famille de MBS. Ainsi, je prie aux invités du dialogue d’intronisation du roi à ne pas donner suite. Le violeur de nos institutions tend la main aux partisans d’un état de droit. Le commanditaire des enlèvements, séquestrations, tortures, humiliations et assassinats ciblés exhorte ses victimes à se rassembler au milieu de leurs bourreaux. Le plus grand menteur que le pays n’ait jamais connu promet, encore une fois, un dialogue franc et « sincère » à des citoyens victimes de leur désir d’un état de droit. Le premier chef séparatiste des Comores appelle à l’unité sans dire de quelle unité il s’agit. Le chef factuel dit qu’il fait confiance à l’opposition pour leur patriotisme, ainsi il se place en distributeur de médailles pour les amoureux du pays. Après avoir muselé les oppositions et les avoir condamnées à ne plus manifester l’intension de proposer ou contester, ils les qualifie des patriotes, un comble. Quand on sait que le chef de tas ait accédé à la magistrature suprême, en 2016 ( 104% de votants ) pour avoir concouru contre 12 candidats dont les 4 importants étaient issus des partis JUWA, UPDC, RDC et SHUMA, on se demande comment il peut ne pas adresser une lettre d’invitation, respectivement, à ces partis et en bonne et du forme. Comment peut-on publier, sur les réseaux, un tel torchon d’invitation à des femmes et des hommes en capacité de prendre en main le destin du pays? Comment un homme en possession de ses capacités « humaines » peut-il ordonner, dicter aux oppositions la façon dont elles doivent se conduire devant un éventuel dialogue? Quel mépris que d’indiquer sa disponibilité à offrir une oreille attentive et prendre en compte aux éventuels conseils et propositions comme s’il s’agissait d’une rencontre Patron/Syndicat? Si dialogue national devrait se tenir, la manière et le fond doivent être, inévitablement, à la hauteurs des enjeux.

    1) Une lettre d’invitation, adressée aux différents patrons des différents
    partis politiques, pour une réunion en vue d’organiser un dialogue national,

    2) Y mentionner la date, le lieu et l’ordre du jour,

    3) Indiquez les représentants du pouvoir devant participer à la construction du
    dialogue,

    4) Solliciter un mot de retour portant sur les identités des représentants des
    oppositions devant apporter leur concours aux préparatifs de la production
    du dit dialogue,
    5) Proposer une date, éventuelle, pour le départ du dialogue, étant entendu que
    seul le succès des préparatifs dicteront et l’ordre du jour, du lieu et la
    date du dialogue national.

    Enfin, j’aurai aimé que le président dise un mot sur la jeunesse qui tente de passer un message sur les difficultés qui sont les siennes. Cette jeunesse ait tenté d’occuper la rue pour envoyer, adresser un mot aux autorités. Cependant, ces dernières sont restées sourdes ou ont fourni comme réponse à la jeunesse, la répression.

    Pour finir, comment croire que celui qui a répondu aux messages responsables des partis politiques par des arrestations arbitraires, aux sollicitations de la société civile par le mépris et aux demandes de la jeunesse par des détentions et à la chasse à l’homme puisse bénéficier de la moindre crédibilité pour l’organisation d’un dialogue national, « franc, sincère » et inclusif? Je crois que dans la lettre ouverte communiquée via les réseaux sociaux, le fond et la forme invitent à la prudence. Le dialogue oui mais pour parler de quoi et comment?

  2. Lorsque j’ai vu les premiers mots du titre, j’ai cru devoir m’attendre à la première audience relative à l’affaire BAPALE. Quand j’ai vu le nom de l’ambassade d’Arabie saoudite, j’ai pensé à celle du FEU KASHOGUI. A la lecture de tout le texte, j’ai compris qu’il s’agit d’une association de malfaiteur avec comme objet: DECOUPE EN TRANCHE DES CORPS HUMAINS DE PREFERENCE VIVANTS. QUESTIO: Le siège social sera-t-il à Istanbul ou Anjouan? Histoire de prévenir les citoyens des futures atrocités et du choix des découpes en tranches ou par membre. Dans tous les cas, nombreux sont les comoriens non partisans de l’initiation à ces pratiques inhumaines et anti religieux. Il faut être Satan et le diable pour ne pas solliciter dieu à l’effacement de ces régimes assassins. Et dire que le boucher de Moroni se prend pour un Arabe de la famille de MBS. Ainsi, je prie aux invités du dialogue d’intronisation du roi à ne pas donner suite. Le violeur de nos institutions tend la main aux partisans d’un état de droit. Le commanditaire des enlèvements, séquestrations, tortures, humiliations et assassinats ciblés exhorte ses victimes à se rassembler au milieu de leurs bourreaux. Le plus grand menteur que le pays n’a jamais connu promet, encore une fois, un dialogue franc et « sincère ». Le premier chef séparatiste des Comores appelle à l’unité sans dire de quelle unité il s’agit. Le chef factuel dit qu’il fait confiance à l’opposition pour leur patriotisme, ainsi il se place en distributeur de médailles pour les amoureux du pays. Après avoir muselé les oppositions et les condamnées à ne plus manifester l’intension de proposer ou contester, ils les qualifie des patriotes, un comble. Quand on sait que le chef de tas ait accédé à la magistrature suprême, en 2016 ( 104% de votants ) pour avoir concouru contre 12 candidats dont les 4 importants étaient issus des partis JUWA, UPDC, RDC et SHUMA, on se demande comment il peut ne pas adresser une lettre d’invitation, respectivement, à ces partis et en bonne et du forme. Comment peut-on publier, sur les réseaux, un tel torchon à des femmes et des hommes en capacité de prendre en main le destin du pays? Comment un homme en possession de ses capacités « humaines » peut-il ordonner aux oppositions la façon dont elles doivent se conduire devant un tel éventuel dialogue? Quel mépris que d’indiquer sa disponibilité à offrir une oreille attentive aux éventuels conseils et propositions comme s’il s’agit d’une rencontre Patron/Syndicat? Si dialogue national devrait se tenir, la manière et le fond sont inévitables.

    1) Une lettre d’invitation, adressée aux différents patrons des partis
    politiques, pour une réunion en vue d’organiser un dialogue national,

    2) Y mentionner la date, le lieu et l’ordre du jour,

    3) Indiquez les représentants du pouvoir devant participer à la construction du
    dialogue,

    4) Solliciter un mot de retour portant sur les identités des représentants des
    oppositions devant apporter leur concours aux préparatifs de la production
    du dit dialogue,
    5) Proposer une date, éventuelle, pour le départ du dialogue, étant entendu que
    seul le succès des préparatifs dicteront et l’ordre du jour et la date du
    dialogue national.

    Enfin, j’aurai aimé que le président dise un mot sur la jeunesse qui tente de passer un message sur les difficultés qui sont les siennes. Cette jeunesse ait tenté d’occuper la rue pour envoyer adresser un mot aux autorités. Cependant, ces dernières sont restées sourdes ou ont fourni comme réponse, la répression.

    Pour finir, comment croire que celui qui répondu aux messages responsables des partis politiques par des arrestations arbitraires, aux sollicitations de la société civile par le mépris et aux demandes de la jeunesse par des détentions et à la chasse à l’homme puisse bénéficier de la moindre crédibilité pour l’organisation d’un dialogue national, « franc, sincère » et inclusif? Je crois que dans la lettre ouverte communiqué via les réseaux sociaux, le fond et la forme invitent à la prudence. Le dialogue oui mais pour parler de quoi et comment?

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