Kassim Ali Abdou, 9 ans, confie que, pour lui, le plus difficile à l’école, c’est la faim. “Il y a des jours où je n’ai rien à manger. « Renvoyé » de l’école par le directeur parce que ses parents n’avaient pas les moyens de payer les frais de scolarité et les fournitures, il a repris l’école grâce au programme pour l’intégration des enfants non-scolarisés et ou déscolarisés dans le cursus scolaire appuyé par l’UNICEF. Son rêve est de devenir policier.
Photo © UNICEF Comores /Julie Pudlowski
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