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Traumatisé et apeuré, Said Ali n’a pas quitté son hôtel jusqu’à son départ pour les Comores

Le conseiller d’Azali en communication se souviendra longtemps de son séjour en France. Enfariné à l’aéroport de Roissy, Said Ali n’a pas quitté l’hôtel où il séjournait. Il est resté et a travaillé en télétravail tout au long de son séjour en France.

Said Ali a été traumatisé par l’agression de Roissy sur la photo ci-dessous, l’homme est apparu fatigué et amaigri.

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2 commentaires sur Traumatisé et apeuré, Said Ali n’a pas quitté son hôtel jusqu’à son départ pour les Comores

  1. Apeuré pourquoi? Pour avoir été terrorisé comme, MOHAMED Moina, AGWA, SABIKIA, Sakani, SALEH et tant d’autres, les mutilés d’Iconi? Pardon, j’allais oublier BOBOCHA avec sa déportation suivie d’un isolement à la GONTANAMO. Que dire de la peur des familles des détenus politiques de les voir assassiner comme ce fut le cas de BAPALE? Ne pensez vous pas que les familles des victimes d’assassinats perpétrés par la dictature sont traumatisés à jamais? Et les crimes sur des enfants victimes d’agressions immondes et sans jugement, n’est-ce pas traumatisant? Alors, face à l’escalade dont le pouvoir en est l’auteur, l’enfarinade ne peut être qualifié de délit et encore moins de traumatisant. Dommage que des hommes agissent de manière à attirer le mépris. L’enfarinade est un mépris adressé au pouvoir dictatorial via le comedien de SAID ALI. Un avertissement pour les moutons qui seraient tentés de ne pas se calfeutrer à defaut de quiter ce bateau ivre.

  2. Apeuré pourquoi? Pour avoir été terrorisé comme, MOHAMED Moina, AGWA, SABIKIA, Sakani, SALEH et tant d’autres, les mutilés d’Iconi? Pardon, j’allais oublier BOBOCHA avec sa déportation suivie d’un isolement à la GONTANAMO. Que dire de la peur des familles des détenus politiques de les voir assassiner comme ce fut le cas de BAPALE? Ne pensez vous pas que les familles des victimes d’assassinats perpétrés par la dictature sont traumatisés à jamais? Et les crimes sur des enfants victimes d’agressions immondes et sans jugement, n’est-ce pas traumatisant? Alors, face à l’escalade dont le pouvoir en est l’auteur, l’enfarinade ne peut être qualifié de délit et encore moins de traumatisant. Dommage que des hommes agissent de manière à attirer le mépris. L’enfarinade est un mépris adressé au pouvoir dictatorial via le comedien de SAID ALI. Un avertissement pour les moutons qui seraient tentés de ne pas se calfeutrer.

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