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Said Larifou adresse un message à l’Union Africaine sur la crise aux Comores

Le ministre des affaires étrangères du gouvernement en exil, Said Larifou interpelle l’Union Africaine sur la crise aux Comores et les arrestations arbitraires.

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2 commentaires sur Said Larifou adresse un message à l’Union Africaine sur la crise aux Comores

  1. Le mot d’un des patrons du gouvernement de transition est? , ici, sans équivoque. Il vient, entre autre, nous rappeler le sombre état dans lequel se trouve le pays. Le lendemain du régime Azaliste ( 2016 scrutin à 104% d’électeurs ), les forces de l’ordre se sont invitées dans l’enceinte de l’assemblée nationale pour humilier et maltraiter les représentants de la nation. Puis, la seule manifestation de l’opposition fut l’objet d’une répression annonciatrice d’une dictature assumée. Depuis, côté politique, toute voix dissonante entraine son auteur à une détention arbitraire précédée d’un enlèvement, torture et humiliation si ce n’est la mort. Comme le musellement des partis politiques n’a pas suffit, au régime, pour traduire les Comores en peuple moutonnier, Azali s’est retourné vers le peuple agissant pour exercer la répression. Ainsi, nous avons assisté à un grand nombre de femmes et d’hommes enlevés, séquestrés, torturés et humiliés pour avoir voulu dire non à la triste vie qui leur est, dictée, imposée. Le nombre de personnes qui ont connu la détention ou la garde à vue, depuis ce régime, pour délit d’opinion est trop grand. On estime ce nombre à plus de 900 personne soit plus de 1% de la population totale. Le nombre d’assassinats connus est de plus de 30 personnes. Les viols sur les enfants de 5 à 15 ans n’ont jamais été aussi nombreux. Certaines des victimes de ces viols ont été assassinées et aucune ouverture de procédure judiciaire n’a été opérée et celles qui l’ont été n’ont servi qu’à faire diversion. Vous comprendrez que donner les noms des victimes de toute sorte de ces violences serait non seulement insupportable pour certains, traumatisant pour d’autres et nécessiterait la production d’un livre. Je rappelle que Sambi et Agwoi ne sont ni les premiers, ni les derniers et encore moins les seuls, malheureusement, à encore subir l’autoritarisme et les détentions arbitraires et injustes. De FAINA à BAPALE en passant par FAYSSOIL et Gazon pour ne pas donner toute la macabre liste noire, on observe les crimes et assassinats les plus abominables restés sans jugement. Le désespoir est clairement affiché lorsque la mère de Faina, comme celle de Gazon et la femme de FAYSSOIL, disait s’en remettre à dieu et non se reposer à une justice qui a l’habitude de dire autre chose que le droit. Bref, les autorités de fait ne connaissent de réponse face aux désirs revendicatifs du peuple, pour le droit à la vie, que les arrestations arbitraires et injustes. Pire, une personne supposée déficiente mentale, vient de passer 6 jours de détention pour avoir parlé. Alors, la commission de l’Union Africaine ferait mieux de chercher à savoir le pourquoi de ces actes morbides dont le régime serait l’auteur par les actes qu’il a ou pas posés à savoir repressions et assassinats ou les agressions et crimes commis sans que les autorités judiciaires n’aient manifesté une once de volonté de dire le droit. On n’a pas besoin de fréquenter les hauts lieux des élites politiques pour comprendre que l’abus de confiance des choix électoraux mène, inéluctablement, vers un fort désir de faire respecter le choix des urnes. Les insurrections et autres manifestations populaires ne sont, en général, que pour imposer la souveraineté citoyenne devant un pouvoir autoritaire, sourd et dictatorial. C’est ce que l’on peut attendre à des hommes qui accèdent aux responsabilités par des fraudes électorales éhontées comme ce fut le cas en 2019 aux Comores. Le problème a commencé depuis les fausses assises, suivies du referendum tronqué qui lui a accouché d’une sombre constitution dont le principe a été d’orchestrer des fraudes électorales massives pour maintenir, à vie, l’auteur de ces machinations au pouvoir. Azal ayant fait l’aveu d’avoir volé la présidentielle de 2019, indiquant que seul dieu lui a permis de voler le scrutin et empêcher ses adversaires de tricher. A ce titre, la seule solution qui vaille pour la paix sociale est l’annulation de la présidentielle de 2019, la disqualification du fraudeur à toute candidature à une élection quelconque et le respect la tournante jusqu’à ce que le peuple en décide autrement et dans le respect des urnes. A défaut l’U.A restera là à entonner le fameux: Libérer le dictateur sans condition et exclure le peuple insurgé des brigands des nations unies ou disloquées. Comme on le voit partout en Afrique d’ailleurs. Qui pouvait penser que les femmes Afghanes pourraient fouler la chaussée pour revendiquer le droit à la vie au même titre que les hommes? Si la commission de l’inutilité Affreuse (UA) n’est toujours plus capable d’oeuvrer pour l’intérêt des peuples Africains mais des vassaux petits maîtres dictateurs, il ne lui restera qu’aller au diable, Satan lui fera une bonne place en enfer, rien qu’ en enfer.
    Le frère SONKO

  2. Le mot d’un des patrons du gouvernement de transition est sans équivoque. Il vient, entre autre, nous rappeler le sombre état dans lequel se trouve le pays. Le lendemain du régime Azaliste ( 2016 scrutin à 104% d’électeurs ), les forces de l’ordre se sont invitées dans l’enceinte de l’assemblée nationale pour humilier et maltraiter les représentants de la nation. Puis, la seule manifestation de l’opposition fut l’objet d’une répression annonciatrice d’une dictature assumée. Depuis, côté politique, toute voix dissonante entraine son auteur à une détention arbitraire précédée d’un enlèvement, torture et humiliation si ce n’est la mort. Comme le musellement des partis politiques n’a pas suffit, au régime, pour traduire les comores en peuple moutonnier, Azali s’est retourné vers le peuple agissant pour exercer la répression. Ainsi, nous avons assisté à un grand nombre de femmes et d’hommes enlevés, séquestrés, torturés et humiliés pour avoir voulu dire non à la vie qui leur est imposée. Le nombre de personnes qui ont connu la détention ou la garde à vue, depuis ce régime, pour délit d’opinion est trop grand. On estime ce nombre à plus de 900 personne soit plus de 1% de la population totale. Le nombre d’assassinats connus est de plus de 30 personnes. Les viols sur les enfants de 5 à 15 ans n’a jamais été aussi élevé. Certaines des victimes de ces viols ont été assassinés et aucune ouverture de procédure judiciaire n’a été ouverte et le peu qui l’ont été n’ont servi qu’à faire diversion. Vous comprenez que donner les noms des victimes de toute sorte de ces violences serait non seulement insupportable pour certains, traumatisant pour d’autres et nécessiterait la production d’un livre. Je rappelle que Sambi et Agwoi ne sont ni les premiers, ni les derniers et encore moins les seuls, malheureusement, à encore subir l’autoritarisme et l’arbitraire. De FAINA à BAPALE en passant par FAYSSOIL et Gazon pour ne pas donner toute la macabre liste, on observe les crimes et assassinats les plus abominables restés sans jugement. Le désespoir est clairement affiché lorsque la mère de Faina, comme celle de Gazon et la femme de FAYSSOIL, disait s’en remettre à dieu et non se reposer à une justice qui a l’habitude de dire autre chose que le droit. Bref, les autorités de fait ne connaissent de réponse face aux désirs revendicatifs du peuple que les arrestations arbitraires et injustes. Pire, une personne supposée déficient mental vient de passer 6 jours de détention pour avoir parlé. Alors, la commission de l’Union Africaine ferait mieux de chercher à savoir le pourquoi de ces actes morbides dont le régime serait l’auteur par les actes qu’il a ou pas posés à savoir repressions et assassinats ou les agressions et crimes commis sans que les autorités judiciaires n’aient manifesté une once de volonté de dire le droit. On n’a pas besoin de fréquenter les hauts lieux des élites politiques pour comprendre que l’abus de confiance des choix électoraux mène, inéluctablement, vers un fort désir de respecter le choix des urnes. Les insurrections et autres manifestations populaires ne sont en générale que pour imposer la souveraineté citoyenne devant un pouvoir autoritaire, sourd et dictatorial. Ce que l’on peut attendre à un pouvoir qui accède aux responsabilités par des fraudes électorales éhontées comme ce fut le cas en 2019 aux Comores. Le problème a commencé depuis les fausses assises, suivies du referendum tronqué qui lui a accouché d’une sombre constitution dont le principe a été d’orchestrer des fraudes électorales massives pour maintenir, à vie, l’auteur de ces machinations au pouvoir. Azal ayant fait l’aveu d’avoir volé la présidentielle, indiquant que seul dieu lui a permis de voler le scrutin et empêcher les autres de tricher. A ce titre, la seule solution pour la paix sociale est l’annulation de la présidentielle de 2019, disqualifier le fraudeur à toute candidature à une élection quelconque et de respecter la tournante jusqu’à ce que le peuple en décide autrement et dans le respect des urnes. A défaut l’U. restera là à entonner le fameux: Libérer le dictateur sans condition et exclure le peuple des brigands des nations unies ou disloquées. Comme on le voit partout en Afrique. Qui pouvait penser que les femmes Afghanes pourraient fouler la chaussée pour revendiquer le droit à la vie au même titre que les hommes? Si la commission de l’inutilité Affreuse (UA) n’est toujours plus capable d’oeuvrer pour l’intérêt des peuples Africains mais des vassaux petits maîtres dictateurs, il ne lui restera qu’aller au diable, Satan lui fera une bonne place en enfer.
    Le frère SONKO

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