Je tiens avant tout à rassurer tous mes proches et ceux qui me soutiennent.
Je vais bien, et fort heureusement les dispositifs explosifs n’ayant pas tous fonctionné, personne n’a été blessé. C’est le plus important.
Je veux condamner au plus haut point cet acte terroriste lâche et criminel. En s’attaquant à ma personne, c’est à la démocratie aux Comores que l’on s’attaque ! Et ceci est vrai pour tout acte de violence qui pourrait viser chacun des candidats en lice dans ces élections.
Les très nombreux témoignages de soutien qui m’ont été témoignés, localement comme internationalement, me vont droit au cœur, m’encouragent plus encore et me rappellent à quel point notre engagement pour le peuple comorien est juste, vrai et essentiel.
Vive la démocratie et vive les Comores .
Azali Assoumani
Bonjour à tous mes compatriotes,
Croyez-vous vraiment en cet attentat? Croyez-vous en cet homme lorsqu’il dénonce ou pretand être victime?
Jusqu’à preuve du contraire nous n’avons pas plus d’éléments qui pourraient établir à un tel acte.
Que Dieu me pardonne si j’ai la langue qui se fourche mais j’ai tendance à penser que cet acte est organisé par leur propre parti pour tromper le peuple.
Azali veut se passer pour une victime pour regagner de la confiance aux gens. Malin soit-il, je le vois malheureusement faire pire pour remporter ces élections.
Mes chers compatriotes, ne soyons pas naïf car nous n’avons pas besoin d’assassiner Azali pour l’éliminer. Je reste persuadé que l’avenir du peuple est dans les urnes mais pas dans les rues.
Wasalam alekoum
bien dit je valide votre argument professionnel que l avenir est dans les urnes mais pas dans les rues moi je m’adresse pas à aucun candidat mais juste on dit la realité et bien on ne sait pas c’est qui va se passé ce jour mais narifikiri yo adjoka moifaka
Azali le grand briguants des iles comores, honte a toi et aux personnel qui te soutients. Allez aux diable
Comoriennes et comoriens l’alcoolique notoire Moustadrane organise ces coups pour tromper la vigilance des naïfs et serrer la vis de la dictature. Avant, l’attentat contre l’ivrogne, pas de blessé, les auteurs sont en cavale jusqu’à maintenant. La même histoire se répète et sur la même route Mutsamudu-Sima. Si c’était vrai, les auteurs auraient des armes à l’appui au cas où certaines cibles auront raté la mine. Des blablas, des manipulations, …