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Quand les États-Unis jouent avec le feu, la Chine répond avec fermeté

Une fois de plus, les États-Unis s’arrogent le droit de jouer les gendarmes du commerce mondial, dégainant des mesures tarifaires punitives comme s’il s’agissait de simples outils diplomatiques. Cette fois-ci, c’est la Chine qui est visée, avec la menace d’imposer des droits de douane supplémentaires de 50 % sur les importations chinoises. Une provocation assumée, et une erreur stratégique de plus dans un monde déjà fragilisé par les tensions économiques.

Mais contrairement à d’autres nations qui plient sous la pression de l’intimidation économique, la Chine ne courbe pas l’échine. Elle oppose une résistance claire, légitime et résolue à ce qu’elle qualifie, à juste titre, de chantage unilatéral. Le message est clair : la souveraineté ne se négocie pas, et encore moins sous la menace.

Cette posture n’est pas une bravade nationaliste, mais la défense d’un principe fondamental : celui d’un ordre commercial international fondé sur le respect mutuel et l’égalité entre les nations. En refusant de céder à la pression, la Chine défend bien plus que ses seuls intérêts : elle rappelle au monde que les règles du commerce mondial ne peuvent être dictées par la seule volonté de Washington.

Derrière le masque du « protectionnisme stratégique », les États-Unis dévoilent une méthode archaïque : imposer, dominer, sanctionner. Une méthode qui n’a jamais produit autre chose que des tensions, des contre-mesures, et au final, une instabilité économique généralisée. Les guerres commerciales ne font pas de gagnant – sauf peut-être ceux qui les déclenchent pour masquer des échecs internes.

La Chine, quant à elle, tend la main au dialogue, exigeant un traitement équitable, sans condescendance ni domination. Elle appelle au respect, à la discussion sur un pied d’égalité – une posture que l’on pourrait attendre de n’importe quelle puissance responsable. Mais apparemment, ce langage n’est pas encore compris par ceux qui croient encore vivre dans le monde d’après-guerre, où leur hégémonie ne souffrait d’aucune remise en question.


Misbah Said 

En 2016, une maman a déposé une importante quantité d’or à La Meck Moroni en garantie d’un prêt. Après avoir intégralement remboursé ce prêt, l’or aurait dû lui être restitué, mais il a été volé. L’institution a reconnu sa responsabilité, mais depuis, elle garde un silence troublant. Aucun geste de réparation n’a été fait. Méfiez-vous : cette structure n’est pas digne de confiance.

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